Tuesday, December 15, 2009

Final Post: Updates and Reflection


1) Final Project Outline and Bibliography: see two previous posts below

2) Site Upgrades:

a. Les Zoos Humains (9/3/2009): Video Link
b. Indochine (9/5/2009): Link to trailer
c. Le Musée Quai-Branly (9/14/2009): Link to official museum web site
d. Princesse Tam-Tam (9/17/2009): Joesphine Baker dancing as Princesse Tam-Tam
e. L’odeur du Papaye Vert (9/28/2009): Link to trailer
f. Daughter from Danang (10/15/2009): Link to Film site
g. The Vertical Ray of the Sun (10/19/2009): Link to trailer
h. American Cinema depicting the Vietnam War (11/16/09): Links to “Full Metal
Jacket” and “Apocalypse Now” trailers

3) Final Essay/Reflection on Learning Experience:

“Franco-Asian Encounters” has proved to be an immensely rewarding class that exposed me to a wealth of new information. The class has piqued my interest in French Vietnam and the Franco-Asian Diaspora, an area that as we discovered while doing research throughout the semester, is a burgeoning arena of academic interest.

I found some of my views of France challenged by some of the media we read and watched this semester. While I was never supportive of Sarkozy’s pro-colonialism approach to French history, the majority of my study of French and the Francophone Diaspora has concentrated on France itself and France in relation to North Africa. I entered the class with very little knowledge of either Southeast Asia or Vietnam—indeed, my high school AP U.S. history class ran out of time before the AP exam and we never learned about the Vietnam War—so much of the information from “Franco-Asian Encounters” was new to me. Of course I was not pleased by all that we learned about—from the Zoos Humains documentary that exposed the early 20th-century usage of the Champ du Mars as wallowing grounds for European spectators to observe the “exotic” and “inferior” people imported for their entertainment to the jarring and violent movies such as “Full Metal Jacket” and “Apocalypse Now,” there is much of Vietnam that is very sad and hard to learn about. But countered with the warmth of “Anatomy of a Springroll” and the quiet beauty of “The Scent of Green Papaya” and “The Vertical Ray of the Sun” showed me another side of Vietnam, one produced by Vietnamese, that showcased the more positive aspects of their country and culture.

In addition to the films, there were two other activities in class that I particularly enjoyed. Reading the colonial newspaper microfilms was occasionally hard on the eyes, the opportunity to do first-hand research with valuable resources was a very enriching experience. Each newspaper provided a different look into the social, political, and economic atmosphere of colonial Vietnam and I was surprised at how much I learned about Indochina by reading presses from both French and Vietnamese perspectives.

I also enjoyed learning about métissage in Vietnam and reading the accounts of Kim Lefèvre and Marguerite Duras. These books, coupled with the “Daughter from Danang” documentary were especially interesting to me as a multiracial person as a means of learning about the métisse experience in another area and culture. Even after doing my final research project on métissage and hapas, I would like to continue learning about the multi-ethnic and/or cultural experiences in Vietnam as part of a greater interest in cross-cultural relations between “Eastern” and “Western” spheres.

Tuesday, December 8, 2009

Projet Final: Métissage/Hapa

Métissage: Définition et l’usage
-La notion de métis désigne le mélange de deux éléments distincts
-Métissage: biologique et culturel
-le mélange de deux races ou cultures
-Substantif : un(e) métisse, quelqu’un qui est un mélange de deux races ou cultures.





Kim Lefèvre, Métisse Blanche

-la honte d’être une métisse
-métisse blanche : typiquement quand on pense au métissage, on considère l’héritage non-blanc comme le « tache » sur le blanc. Pour Lefèvre au Vietnam, c’est son héritage blanche qui cause les problèmes.








Daughter from Danang

-encore la honte d’être métisse
-elle ne sait rien de son héritage vietnamienne
-pour elle, le fait qu’elle est demi-Vietnamienne c’est le problème






L’amant

-le relation interculturelle, interdite
-Duras tient le pouvoir dans leur relation










Hapa: Définition et l’usage
…hapa comes from the Hawaiian phrase hapa haole (pronounced « hah-puh howl-ee ») meaning « half-white foreigner. » It now describes anyone whose heritage is white plus another racial or ethnic group, but especially Asians and Pacific Islanders. The term is now considered by some to be one of positive self-identification.
-Asian American Journalists Association handbook.




May-Lee Chai, Hapa Girl
-Histoire autobiographique de son vie comme hapa aux Etats-Unis pendant les années 1970s
-Avant que hapa était un identifiant positive
-Un histoire d’amour












-Kip Fulbeck

-Americain
-artiste, poète, professeur
-son travail: de changer la perception des hapas
-The Hapa Project (Installation chez UNC)




The Hapa Project












Le sens de “métissage” et “hapa” aujourd’hui

-L’évolution de « hapa » et « métissage » d’être quelque chose de laquelle on est fier.
-Mais il y en a encore des difficultés.

Wednesday, November 25, 2009

Outline

FREN 383 Projet Final (10 minutes)
Sources :
• Chai, May-Lee. Hapa Girl: a memoir. Philadelphia: Temple UP, 2007. Print.
• Daughter from Danang. Dir. Gail Dolgin and Vincent Franco. PBS Home Video, 2002. DVD.
• Fulbeck, Kip. Part Asian, 100% Hapa. San Fransisco: Chronicle Books, 2006. Print.
• Lefevre, Kim. Metisse Blanche. City: Publisher, Year. Print.
• Websites: http://www.daughterfromdanang.com, http://www.seaweedproductions.com

Outline:
1) Métissage
a. Definition de métisse et l’usage
b. Kim Lefevre
c. Daughter from Danang
2) Hapas
a. Definition de hapa et l’usage
b. Kip Fulbeck (Hapa project)
c. May-Lee Chai (Hapa girl)

Tuesday, November 17, 2009

Dernier Devoir: Les problématiques (ou questions ou thèmes) français chez les œuvres de Kim Lefèvre. (500 mots)

1)La question du métissage : le métissage, c’est le terme pour les gens de la race mixte. Les métisses sont exclues de la société française et vietnamienne. Le métissage pose des problèmes, est conflictuelle dans plusieurs situations : les situations amoureuses, dans le milieu familiale, dans le milieu sociale, dans le monde de l’éducation, et pose un problème dans le domaine public et dans le domaine privé. La seule solution des métisses est de quitter le pays (mais ce n’est pas toujours une solution), et le retour, c’est un retour de l’étranger chez lui.

Citations exemplaires :
P.36 : L’oncle de Kim Lefèvre en parlant du métissage de son nièce « Crois moi, répétait-il à ma mère, tu couves une vipère en ton sein, son sang français prendra le dessus malgré tes bienfaits. C’est de la mauvaise graine, elle te trahira. »

P.425 : …les G.I retournèrent chez eux, abandonnant sur le terrain d’autres enfants métisses—les Amérasiens--, fruits d’unions entre Vietnamiennes tentées par le dollar facile à gagner et soldats américains désireux d’oublier le danger et la mort. De même que pour ceux qui étaient issus de la colonisation française, ces enfants furent rejetés, abandonnés à leur sort, des enfants que le Vietnam, aujourd’hui comme hier, refuse de regarder en face.

2)L’entre-deux, c’est-à-dire, l’inter culturalité, est une autre problématique liée au métissage mais c’est une propre idée distincte et importante. Kim Lefèvre est moitié vietnamienne et moitié française, mais au lieu d’être un vrai mixe des cultures, elle se trouve hors de les deux, tiré entre deux cultures. Selon tout le livre, la narratrice lutte entre ses deux cultures en essayant de se trouver son propre place, mais elle ne trouve pas les résultats concrets. Est-il vraiment possible pour elle de choisir une culture ? Enfin, il semble que non—elle est partie en France, mais elle est l’autre là-bas, puis, en retournant au Vietnam, elle est encore à l’extérieur.

Citations exemplaires :
P.89 : « L’injustice dont j’étais l’objet m’était intolérable en même temps que naissait en moi-encore ténue il est vrai-- la certitude que le Vietnam ne voudrait jamais de moi »

P.446 : Elle pousse un soupir de soulagement, me prie de prendre soin de sa mère durant le voyage. -Elle retourne seule à Saigon après une longue absence et elle à très peur, me confie sa fille. Je ne lui dis pas que moi aussi je reviens après trente ans d’absence et que j’avais aussi très peur.

3) L’appartenance et les racines sont une troisième problématique dans les œuvres de Kim Lefèvre. Grace à son métissage et le sens d’être entre deux cultures, Kim, pendant sa jeunesse et aussi pendant son vie adulte, se sent d’un manque d’appartenance à son famille, un village, et un identité enraciné dans un histoire familiale, nationale, et personnelle. Elle exige ce manque d’appartenance et la douleur de perdre les choses le plus proches aux racines qu’elle connaissait pendant sa vie difficile.

Citations exemplaires :
P. 96 : Finalement, n’y tenant plus, il décida de rejoindre Tuy Hoa, petit ville du centre où il avait encore la tombe de son père. Pour ma mère aussi il était temps de s’en aller. Elle avait compris enfin qu’elle ne pourrait pas vivre en paix ici. Pour moi, ce départ fut un déchirement. Je m’étais attaché au gens et aux paysages de ce village. Je commençais à m’enraciner, j’étais en train d’amasser des souvenirs de me construire une histoire… »

Monday, November 16, 2009

American Cinema depicting the Vietnam War: Full Metal Jacket and Apocalypse Now (Redux)



Full Metal Jacket and Apocalypse Now are among the most famous war films in cinematic history. Indeed, moments from both films, from Full Metal Jacket’s Vietnamese prostitute proclaiming “Me love you long time” to Apocalypse Now’s famous eulogy, “I love the smell of napalm in the morning,” both movies hold a special place in the history of both cinema and post-war public perception and understanding of the conflict.

What makes these two films particularly interesting for our class discussion is the fact that both were both well-received by foreign and particularly French audiences. Full Metal Jacket won several accolades, particularly for the screenwriting, and Apocalypse Now took home the prestigious Palme d’or from the Cannes Film Festival in 1979.

In class we speculated about the reasons for the films’ popularity. One reason that came up was the noticeable lack of Frenchmen, women, and soldiers in the films—indeed, with the exception of the French plantation scene in Apocalypse now, the Vietnam War in both movies appears to be a war between Americans and Vietnemese. In doing some background research on Apocalypse now, I discovered that the version I watched was actually Apocalypse Now (Redux), a 2001 re-release that included several scenes omitted from the original film. The French plantation scene was among those not included in the original version.

Although the French plantation scene was not a part of the original movie that won the Palme d’or, the scene is hardly offensive to the French—arguing with Willard, one of the colonists accuses the United States of accusing the Viet Cong, blaming the Americans for their misery.

At any rate, however, colonialism and the French presence in Vietnam are in no way the focus of either film, nevertheless, the American perception of the Vietnamese insurgents and the Viet Cong do mirror, in a way, French sentiments about Vietnam during the colonial period. Soldiers in both films find it difficult to comprehend why the Vietnamese resist their help—the U.S. army is here to save them, and the thanks they receive—bombings, snipers, surprise attacks—indicates not gratitude, but total detestation. This coincidence is not by any means an attempt to say that French audiences liked Full Metal Jacket and Apocalypse now because it showcased how ungrateful the Vietnamese were, but the fact that the French favored Vietnam War movies from an American perspective indicates some preference for Western recollections of a topic that is still very sensitive today.

Link: Full Metal Jacket trailer
Link: Apocalypse Now trailer

Thursday, October 29, 2009

Midterm: Itineraire d'enfance (in English)

1. Explain the sentence “J’ai franchi le seuil du Malheur” p. 113. (3 sentences)

“J’ai franchi le seuil de Malheur” translates literally to “I crossed the threshold of Misery.” Bé, having just accepted the blame for locking Gia in the closet, is expressing her sadness as she accepts the punishment (expulsion from school) for her actions. Though she feels she has done the right thing—letting Xit take the fall would not have been a moral decision—Bé, a bright student, is nonetheless upset about her expulsion and exclusion from her school and classmates.

2. Pp. 201-257. Faites une liste de 12 activités (ou objets) qui montrent la culture et les rituels vietnamiens.

1. The carpenter Moc also does some farmwork, cultivating manioc and taking care of paddies (Vietnemese crops and cultivation methods)
2. Bé and Loan collect « feuilles de lolot », leaves from a native plant, and catch snails for a Vietnemese recipe
3. Moc eats a slice of gelatin from tiger bone (he is also a good hunter, but does not brag about his accomplishments)
4. Moc’s stories (including one about a troupe of monkeys), contain morals for the children to learn. Other characters also tell stories that include small life lessons.
5. Native medicine—the man who comes in search of help for his sick wife is told that an albino horses’ bone gelatin is the cure
6. Pho restaurants, with spicy, nourishing soup that makes the diner sweat and cry
7. Cigarettes—though not Vietnamese, are smoked by Moc and many others
8. Description of the process of making gelatin and the work of the boilers, a job that was in the past miserable and made little money
9. Le penghawar: yellowish silky hairs used to stop bleeding (Hindi word)—treatment for wounds
10. The tiger hunt
11. The story of Roc and the accident with his son showcases the importance and status that goes with the hunt
12. The ululations of the village upon the hunters’ return and the death of the tiger terrorizing the village cows and pigs.
13. Also, the process of slaughtering the tiger and distributing the parts among the village.

3. Pp.267-fin Qu’avez-vous appris sur la vie au Vietnam d’après Duong Thu Huong ? Donnez des exemples precis. (300 mots)

In Itinéraire d’Enfance, Duong Thu Huong presents the reader with many opportunities to learn about life in Vietnam. Though the novel is first and foremost a coming-of-age story, but as we follow Bé and Loan on their journey through Northern Vietnam, elements of Vietnamese life and culture play a role in the story nonetheless.

The descriptions of Vietnamese food are among the most vivid examples that popped out of the novel and into the reader’s conception of Vietnam. From sticky rice candies and savory pho to snail soup and succulent meat brochettes, the food Bé and Loan prepare and consume along during their journey become memorable parts of the story.

The people Bé and Loan meet during their journey also play an important role in fleshing out Vietnamese life. Many of the characters are hospitable to our young protagonists: Moc, the carpenter who was also a great hunter and farms on the side, is particularly kind to Bé and Loan, and often tells them stories, from one about a family of monkeys to village anecdotes, all with an accompanying moral message for guidance.

The tiger hunt is one example of a Vietnamese tradition that stands out in Itinéraire d’enfance. After village calves and pigs start disappearing, the village men set out on a mission to kill the beast endangering their livestock. Though Bé wants to go, she is told very clearly that hunting is for the men and thus, waits in the village with the men’s families for their return. When they finally come home victorious, Bé and Loan see the stories Moc told them come to life as the tiger is ritually slaughtered, its claws distributed to each family and the skeleton boiled to prepare gelatin.

Last but not least, the scenery of northern Vietnam is illuminated as Bé and Loan make their way to Bé’s fathers outpost. Though the mountains, fields, and farms they traverse do not always make the journey easier, their eyes, as those of the reader, are opened to experience Vietnam beyond the girls’ native village. Altogether, the food, people, and landscape combine to complete a picture of Vietnamese life that fleshes the country and people out beyond the images and reports from microfilm research.

Tuesday, October 20, 2009

Itineraire d'enfance


Résumé :
Itinéraire d’enfance, deuxième roman de Duong Thu Huong, est non seulement l’histoire de deux jeunes filles qui quittent leur village mais c’est aussi une histoire d’apprentissage ou on voit l’évolution des personnages tout au long du roman. L’histoire est racontée par Be, une jeune vietnamienne qui vit avec sa mère dans un petit village. Son père est à poste dans le nord, prêt à la Chine. Bé est une bonne étudiante et la meilleur gymnaste dans la classe, mais elle possède aussi un sens d’humour et un sens de la justice qui changera sa vie quotidienne. Bé, avec son esprit indépendant, enferme son professeur de gymnaste, le méchant Gia, dans la salle de bain, puis, incapable de regarder le traitement d’un camarade de classe qui est blâmé pour l’incident, elle se dénonce. Après cette débâcle, elle part pour le nord pour trouver son père. Son ami Loan l’accompagne : après le mariage de sa mère au chef du village, Can, elle aussi veut sortir du village.
Les deux amis s’embarquent sur une aventure à travers le Vietnam. En voyagent, elles découvrent le paysage divers et les peuples différents pour le premier fois. Leurs expériences, de chasser un tigre jusqu’aux marché au Khau Phai, la montagne où le père de Bé est stationné, sont plein d’aventure et elles apprennent beaucoup sur-eux-mêmes aussi que leur pays. Le livre conclut avec un fin heureuse : Bé reçoit une lettre de sa mère quand elle est en compagnie de son père qui dit que sa note de compartment à l’école a été rétablie et elle peut retourner à ses études.

Notes en classe 10-15-2009
Itinéraire d’enfance :
Le mot « itinéraire » a plusieurs sens :
1) l’histoire de deux jeunes qui quittent la village
2) un roman d’apprentissage
3) l’itinéraire d’une nouvelle littérature, un nouvelle voit littéraire (les vietnamiens qui s’exprime en français)
-propre titre : l’itinéraires d’enfance (l’errance, c’est un nomade)
-cette livre à été traduite
-cette livre résiste au modèle traditionnelle du roman, un livre qui résiste d’être rationnelle, discursive, bien construit (beaucoup de choses se passent, mais il n’y a pas beaucoup d’action dans le sens traditionelle)
-on va suivre les réactions de la narratrice
Synthèse : Boi et Loan quitte leur village (Boi a été expulsé de l’école, la mère de Loan a remarié et elle cherche le père). Les deux font les aventures, ils apprennent plusieurs choses au sujet des animaux, la culture, etc. puis ils retournent au village.
Grand Question : la perspective
-est ce que nous avons maintenant une perspective vietnamienne ? Quelle est la perspective à propos de la perspective française ? Est-ce qu’on apprend les choses nouvelles au sujet de Vietnam ? Est-ce-que il y a une spécificité culturelle dans ce texte
(ex. dans l’Amant, est-ce que on a un sens de la culture vietnamien ? non, de la colonialisme)
-qu’est ce que le texte nous offrent, nous donnent a nous pour partager le culture vietnamien ?
-cette livre est plus proche a « L’odeur de la papaye vert » et le question de comment est-ce qu’on spécifié une culture

Activité en Classe
5 mots pour décrire le roman : subtilité, communautaire, intimité, l’injustice (de l’école, les villages, le pouvoir), l’honnêteté de la narratrice (moins intellectualisé)

Liste des personnages
1. Bé : personnage principale
2. Gia : prof de gymnaste
3. Thé : père, guide pour bé, role importante
4. Loan : meilleure amie de Bé
5. Can : le chef, pouvoir
6. Vinh : directrice, méchant, pouvoir
7. Xin(Xit ?) : camarde de classe (accusé d’enfermer Gia dans les toilettes)
8. Ly : camarade de classe qui est tombé malade
9. Luu : mère de Loan, elle s’est marié avec Bé
10. Cot/Cav : petit garcon pauvre

L’école Socialiste :
-personne ne peut pas rie sans permissions du maitre a l’école (désir de s’installer le pouvoir) Gia
-idée que toutes les enfants sont --- mais Bé est meilleure dans tout
-l’esprit de Be : elle ne tolère pas les injustices : elle est trop indépendante pour cette école tandis qu’elle est la meilleure élève

Résume du Chapitre 6 (mon groupe)

Couleur Locale : citations de chaque chapitre
p.12 dans les trains, les gens sortent la tête par la fenêtre….
p.19 a travers la fenêtre, le ciel enfin bleu est baigné de soleil…
p.38 la pelouse baigne dans le soleil…
p. 48 nos deux maisons…

Monday, October 19, 2009

Film: The Vertical Ray of the Sun



“The Vertical Ray of the Sun” is a beautiful, slow-moving film about love, relationships, and family. The story centers on the lives of three sisters, two of whom are married, and the youngest still single but living with their brother. The movie begins on the day of the sibling’s mother’s memorial, a day for the sisters and brother and their families to gather and celebrate their loved ones’ life with prayer and food. However, the happy extended family we see at the beginning of the film is quickly complicated by the borderline-incestuous relationship between the youngest brother and sister and pregnancy and infidelity issues arise in the older sisters’ marriages.

But like “The Scent of Green Papaya,” also directed by Tran Anh Hung, this film is perhaps less about the actual plot and more about specific scenes and instances that present slices of Vietnam to the viewer in lush, living color and sound. The song of the woman playing guitar in the family café at the beginning of the movie recurs through ought the film, coloring the scenes with a beautiful, haunting traditional sound. The close-up of the sisters cleaning the kitchen for their mothers’ memorial—laughing about the “disgusting things” women are allowed to and supposed to touch—shows the viewer, with humor, the closeness of this family’s women, representative of the close-knit Vietnamese family that cares for one another. Hanoi is beautifully showcased throughout the film, in the houses of the different families and the bustling café, and the country, where Suong (the oldest sister)’s husband meets his other family, is an island getaway of isolated beauty. Though the film can be hard to follow with the limited dialogue and attention to detail, it languor captivates, providing a sensuous look at Vietnam.

Link to trailer (Vietnamese): The Vertical Ray of the Sun

Thursday, October 15, 2009

Daughter from Danang: questions en regardant le film


1. Comment se manifestent les différences culturelles dans ce film? Nommez 3-4 différences.
-le KKK et les traditions et la culture de Tennessee et le Sud
-les voyages et vacances qu’Ann (la mère adoptive) a fait avec Heidi—l’argent et la possibilité de faire ce qu’on veut.
- la cuisine différente (Heidi n’est pas accoutumée aux épices et saveurs vietnamiennes)
-la grande famille et l’unité de la famille au Vietnam (par contre aux Etats-Unis, ou Heidi et sa mère sont aliénées)
- les attitudes différentes envers la guerre (pour les Vietnamiens, ils ont gagné contre les Américains)
-les différences entre la sœur Hien et Heidi : elle est beaucoup plus pauvre, et elle demande de l’argent de sa sœur américaine. Heidi, par contre, n’apprend pas pourquoi sa famille pense qu’elle va les donner de l’argent pour leur aider (elle a seulement voulu être réunir)

2. Comment est-ce que les guerres peuvent avoir des conséquences pour plusieurs générations?
-La mère d’Heidi avait peur que si elle n’a pas donné sa fille aux Américains, sa fille serait tué violemment donc elle l’a donné son enfant aux étrangers.
-La guerre sépare les familles (le gouvernement américain n’a pas gardé un liste complète des enfants qu’ils ont apportés aux Etats-Unis).

3. Qu'avez-vous appris du Vietnam dans ce film?
- La désespoir des Vietnamiens : ils ont donné leurs enfants aux Américains pour qu’ils aura un mieux vie.
- La choix difficile pour la mère de Heidi : elle s’est couché avec un soldat américain parce que son premier mari l’a laissé sans un mot et il faudra qu’elle fourni de l’argent et la nourriture pour sa famille.
- L’attitude des vietnamiens vers les Américains/un lien Américain : Heidi est un lien pour l’argent et le succès
-l’amour familiale : ils sont pauvre, mais ils prennent soin l’un de l’autre.

Site-web du film: Daughter from Danang

Monday, October 12, 2009

Anatomy of a Springroll


“Anatomy of a springroll” est un film biographique de Paul Kwan, un Chinois de Saigon qui a longtemps vécu aux Etats-Unis. Dans ce film Kwan, après le mort de son père, retourne à Saigon pour trouver son ancienne maison et de souvenir son culture.

En cherchant son culture, Kwan tourne à la cuisine vietnamienne. Il pense avec nostalgie des parfums de la nourriture au Vietnam, et de l’aspect sociale de la cuisine. Le Vietnam est pauvre, avec tant de problèmes, mais ils ont produit, comme Kwan dit, plusieurs plats délicieux (par rapport aux Américains, qui ont leur Big Mac)

Le rapport profond avec la nourriture est renforcé par les rêves de Kwan, illustrés avec les histoires animées et un cauchemar de « Springroll, Inc. »

Mais il faut noter que nourriture joue un rôle important aussi aux Etats-Unis : Au début du film, Kwan montre son mère, qui habite aux Etats-Unis avec lui, le marché des « produits biologiques » avec les milles d’aliments frais et légumes, que les gens viennent pour trouver les meilleurs produits pour leur familles. L’idée que « food is everyones first language » est renforcée quand Kwan revient aux Etats-Unis pour apprendre le recette pour les springrolls de sa mère.

Thursday, October 8, 2009

MICROFILM : Le courrier de Saigon Janvier-Juillet 1900

Le courrier de Saigon est un journal très différent de l’Indochine enchainée, le premier journal j’ai regardé sur microfilm. Ce journal traite plusieurs nouvelles de l’Asie, et il raconte les nouvelles de France aussi à rapport des colonies.

Le ton de ce journal est opiniâtre : ils nous donnent les nouvelles, mais on reçoit leur avis dans le cadre du rapport aussi. Ce ne sont pas les opinions anticolonialistes, en fait, dans « La véritable école coloniale, » l’auteur défend la colonie en disant que les gens qui veulent préparer pour la vie et les carrières coloniales n’ont pas besoin de partir en France : « il n’a à qu’une seule école coloniale, c’est la colonie. »

On voit la même chose dans deux autres articles, «Protectorat et congrégations, » ou le journal exige la nécessite d’améliorer les écoles et « Fusion nécessaire,» un appel pour un system électorale unifié. En fait, leur priorité est le bien-être de la colonie,--en fait, c’est leur terre, c’est naturel qu’ils veut le mieux pour leur propre propriété, et ils plaident toujours pour le support financière.

Citations intéressants des articles :

La véritable école coloniale (3 janvier 1900):

-depuis que les questions coloniales sont de mode en France, il ne se passe pas de jour qui ne soit naitre de nouvelles créations, jardins d’essais, écoles d’agriculture coloniale de commerce colonial, etc. etc. »
-maintenant à paris il y a une « école pratique d’enseignement colonial »
-hélas, nous ne pouvons croire que cette école puisse donner de bons résultats et quoique le directeur de cette institution nous pris, à la fin de sa lettre-circulaire, de bien recommander l’Ecole pratique d’enseignement colonial aux parents qui désirent envoyer leurs enfants en France, nous aurons le regret de ne pas le recommander du tout.
-c’est qu’aux colonies, comme tout partons ailleurs, on ne peut se contenter de connaissances générales et que, seules, les connaissances spéciales ont une valeur.
-un élève qui sortira de cette école n’aura aucune spécialité et par suite ne sera bon a rien. Un commerçant t ne le prendra pas comme comptable parce qu’il ne sera pas comptable, il aura bien appris vaguement ce que c’est qu’une lettre de change, un grand-livre ou un livre-journal mais il sera incapable de tenir une comptabilité parce que c’est une profession et que pour l’exercé il faut l’avoir spécialement étudié.
-un industriel ne le prendra pas davantage parce qu’il n’est ni mécanicien ni forgeron ni chaudronnier ni rien : un planteur n’en voudra pas parce qu’il ne connait ni la culture du riz, ni celle du café ni celle du poivre, ni aucune en particulier, parce qu’il ne connait ni le pays ni ses coutumes, ni les conditions spéciales dans lesquelles s’exécutent les travaux agricoles.
-nous ne saurions donc trop souvent répéter ce qui n’est pas dans les écoles de France qu’non formera les colons. Les parents qui disaient que leurs enfants s’établissent plus tard aux colonies n’ont qu’à se mettre en relation avec des colons et envoyer leurs enfants en apprentissage chez eux.
-au lieu de leur faire passer plusieurs années dans une école spéciale, qu’ils les placent chez un agriculteur, chez un industriel ou chez un commercent des colonises et c’est la seulement en mettant la main a la pate qu’ils appréhendent un métier et pourquoi ensuite s’intéresser, s’associer ou s’établie eux-mêmes.
- le anglais et hollandais et les allemands sait mieux déjà, ils envoient les gens aux colonies.
-il n’a à qu’une seule école coloniale, c’est la colonie.
-quand donc comprend-t-on cela en France ?

Protectorat et congrégations (17 mars 1900):
-bien que Phnom-Penh soit pourvu depuis un certain nombre d’années d’une école primaire, laquelle renferme une centaine d’élèves, on ne peut pas dire que le service de l’enseignement soit organisé au Cambodge : en effet, ladite école ne compte qu’un seul professeur européen, M. Flamant, et dans l’intérieur du Cambodge, ainsi que nous avons déjà eu le regret de le dire dans ce journal, rien, pas l’ombre d’une école
- cela n’est pas assez et cette situation appelle des réformes urgentes qui devront s’imposer avant peu, nous voulons le croire, a l’attention du gouvernement général et a celle de m. Luce, résident supérieure.
-nous nous répétons : ou est l’école ? Elle est inexistante.
-non seulement nous trouvons pour le moins étrange que le gouvernement subventionne les béguines du Cambodge pour une école qui n’existe pas, mais nous nous demandons si nos gouvernants ne cherchent pas à appliquer davantage, dans cette colonie, le principes du syllabus plutôt que ceux découlant d’une administration républicaine, quand nous apprenons que les « chères frères des écoles chrétiennes » dont floridien est l’apôtre, ont le cynique doucet de solliciter actuellement la concession gratuite d’un terraient pour construire a pompent une succursale de l’institution Tahert.
-évidemment, notre laïque périclitera, a cote de la puissante congrégation, riche de nos sacrifices et de nos derniers.
Il conviendrait pourtant de savoir si l’on va persévérer, dans cette voie rétrograde et si, a l’heure ou d nombreux scandales éclatent partout, en France, a l’ombre des maison congréganistes, a l’Indochine en général et le Cambodge en particulier seront pour elles un refuge.

Fusion nécessaire (21 mars 1900):
-L’administration supérieure a fusionne les séries des divers pays de l’Union et les fonctionnaires, des douanes par exemples, de la Cochinchine, du Cambodge, de l’Annam et du Tonkin sont devenus les agents des douanes de l’Indochine. Est-ce un bien, est-ce un mal, ce n’est pas la le point que nous voulons examiner aujourd’hui, la fusion a eu lieu et il n’a plus à y revenir. Mais elle n’a pas été complète et les élections qui vont avoir lieu prochainement au Cambodge nous ont démontré la nécessité d’une nouvelle fusion : la fusion électorale.
- il se produit en effet ceci : c’est qu’actuellement un très grand nombre de fonctionnaires, cents de douanes et régies en particulier, ne sont pas électeurs et se trouvent en fait privés de leur droit de voter.
-il existe en effet des listes différentes pour la Cochinchine, le Cambodge, l’Annam, et le Tonkin.
-l’établissement d’une liste électorale unique n’entrainerait évidemment pas pour les fonctionnaires en service en Cochinchine le droit de voter pour l’élection du délègue pas plus que les fonctionnaires du Cambodge ne voteraient pour le député de Cochinchine, mais chacune d’eux voterait aux élections qui auraient lieu dans le pays ou ils seraient en service, a la seul condition qu’ils aient six mossi de présence en Indochine moment de l’établissement des listes. Cette réglementation est du reste applicable en France à certaines catégories de fonctionnaires, les prefaits et sous-prefaits par exemple, et rien ne nous parait devoir s’opposer à ce qu’on l’applique, également en Indochine.

Saturday, October 3, 2009

Synthèse : Marguerite Duras et ses œuvres (Barrage et l’Amant)


Marguerite Duras était un auteur célèbre français ; née en Cochinchine ses œuvres autofiction (un mélange de la fiction et de l’autobiographie) donnent au lecteur un aperçu de la vie des pauvres blancs en l’Indochine. À la suite de ce statut social, elle a connu un certain nombre de choses différentes des françaises et vietnamiennes que nous avons déjà étudié dans des œuvres antérieures ou la majorité des histoires traitent les colonialistes riche et les pauvres asiatiques. Dans Un barrage contre le Pacifique et L’Amant, Duras présente de nombreuses problématiques, questions, et thèmes qui ont influencé non seulement la vie de ses personnages et sa propre vie en l’Indochine mais illustrent la complexité des relations franco-asiatiques pendant cette période.

Avant de lire Duras, nous avons regardé un documentaire biographique de sa vie. Dans ce film, nous avons appris un peu de l’histoire de sa famille et ses pensées sur l’amour, la maternité, et l’inégalité. Ce sont les détails qu’on trouvera plus tard dans ces œuvres littéraires.

Selon Duras, l’amour d’une mère, c’est qu’elle ne cesserait « jamais » d’aimer son fils. Cette idée, l’importance du fils, reviendrait à la fois dans Un barrage contre le Pacifique et L’amant. Dès le début de Un barrage contre le Pacifique c’est clair que la mère préfère Joseph, le fils ainé, a sa fille, Suzanne. Le dynamique de cette famille est problématique : la mère têtue, naïf, et dépendante ne réalise pas que c’est sa fille qui est beaucoup plu stable et travaillante, elle reste convaincu que c’est son fils (qui est réellement irresponsable et matérialiste) qui est le meilleur. Ses menaces de quitter la famille ne font que renforcer son lien illogique de la seule figure masculine dans sa vie.

Nous voyons une situation similaire dans L’amant. Ici, le frère aîné exerce le pouvoir dans la famille, et sa mère, sa fille (notre narratrice) et le cadet se plier à sa volonté. L'absence d'un père fort est peut-être une façon de commenter sur l'inefficacité du colonialisme français en prenant soin des pauvres blancs et indigènes dans les colonies. L’incapacité des frères ainés de s’occuper des autres, et l’incapacité des femmes de prenant charge dans le système colonialiste couplé avec l’interdiction des asiatiques de prendre en charge sur les blancs, laisse la société avec aucun solution pour améliorer leur situation.

Duras rappelle un événement dans sa propre vie dans Un barrage contre le pacifique qui montre l’incapacité des colonialistes de s’occuper des autres ou même eux-mêmes. On sait que la mère de Duras, après le mort de son père, a fait un mauvais investissement dans une propriété agricole. La famille vivait dans la pauvreté pour plusieurs années dans isolations grâce à cette erreur d’investissement. La mère dans Un Barrage contre le Pacifique a fait la même chose, en plus, elle donne de travail aux indochinois qui habitent sur cette terre en leur demandant de construire un barrage contre la mer pour protéger le terre de l’océan qui se gonfle pendant les orages. Mais au lieu d’aider les indigènes, comme elle pensait, elle les ait blessés et affamés lorsque le barrage à été détruit et tout était perdu. Cela n’a pas surpris les indochinois, mais la mère ne leur écoutera jamais : elle est un pauvre colonialiste, mais colonialiste tout de même, et cette statut sociale est irrévocable.

L’irrévocabilité des conditions sociales est un grand thème dans L’amant aussi, mais la situation dans laquelle c’est traité est un très différent, qui démontre les complexités problématiques causés par le système coloniale. Dans L’amant, la jeune narratrice, une pauvre blanche commence une relation avec un riche chinois plus âgé. Il faut noter qu’un nombre de Chinois était traités différâmes des indochinois pendant cette période : les chinois comme l’amant du roman ont gardés leur argent et comprennent une classe sociale plus haut que celle des indochinois mais séparé des blancs. Donc, cette relation avec le chinois est condamnée pour plusieurs raisons. C’est interdit non seulement parce que c’est une relation interraciale, et aussi parce qu’ils sont des classes différents : elle est pauvre et il faut que le chinois épouse une chinoise du même statut sociale que lui. Mais en même temps, le fait qu’elle est blanche la rend plus haut que lui, quoi qu’il soit riche. Le double standard complexe du système colonial est aussi frustrant car il est limité, donc il n'est pas surprenant que Duras, qui a basé l'histoire hors de sa propre relation avec un chinois, était un communiste pendant toute sa vie. « Même si ca sera jamais possible, » dit-elle dans le documentaire biographique, elle croyait que le communisme soit la meilleure façon de combattre l’injustice.

En fait, si oui ou non le communisme serait une solution viable aux problèmes de Duras et ses personnages est discutable, mais la complexité de leurs situations révèle l'inefficacité du système colonial et les problèmes que ce système a causé les pauvres blancs et indigènes en Indochine.

Monday, September 28, 2009

Film: "L'odeur du papaye verte" (1993)


« L’odeur de la papaye verte » est un joli film qui rencontre l’histoire de Mui, une jeune vietnamienne qui vient a la maison d’une riche famille vietnamienne. L’histoire est présentée lentement et subtilement, et il y en a plusieurs détails riches qui contribuent à la beauté de l’histoire.

La majorité du filme passe dans l’espace restreint d’une maison : premier la maison d’une grande famille, et deuxièmement la maison du pianiste. Mui est servante, donc c’est logique qu’elle reste dans la maison, mais en observant les maitres on voit que tout le monde est prisonnier d’un sort de la maison. Cette fait devient plus clair quand le père s’échappe de la maison---son départ rend tout le monde à réalisé comment ils sont immobiles dans leur station.
La musique joue un très grand rôle dans « L’odeur du papaye vert. » au début du film, on entend le père de la maison en jouant un instrument traditionnel le soir. C’est clair que cette musique est très important à lui car il ne fait pas trop attention a la mère qui lui parle du fait que leur fils ainé n’as pas encore rentré et la nouvelle servante est arrivé. Son musique, et bien les sons quotidiennes de la vie à la maison sont toujours interrompes par le couvre-feu qui hurle le soir. Même dans cette maison traditionnelle, on ne peut pas oublier qu’il y a une guerre qui les entoure. La musique européenne du pianiste, l’ami du fils ainé et nouveau maitre de Mui, par contre, semble d’effacer le son du couvre feu même dans le tempête, la musique classique règne peut-être c’est un son d’un couvre-feu symbolique---en jouant le piano, le pianiste reste chez lui.

Pouvons-nous identifier avec les personnages ? Ca dépend. Moi, je n’ai jamais été servante et je ne suis pas vietnamienne. Mais en même temps, la souffrance de la famille avec le départ et le mort du père et l’histoire de la servante qui gagne le cœur de son maitre (ou, sa maitresse: la mère pense à Mui comme sa fille) sont les thèmes universels dans le drame humaine.

Mais il y en a un message pour le public en regardant cette reconstruction d’un période historique du Vietnam. Le fait qu’il n’y en a aucun français dans cette film montre comment le Vietnam est en reconstruisant, complète avec les classes sociales ou les pauvres servent les riches. Mais les vestiges du colonialisme le diplôme du pianiste d’une école français, l’habillement de son fiancé, montre que l’ouest joue encore un rôle ici.

Le message sur l’identité vietnamienne, alors, est un peu compliqué. Enfin, on voit plusieurs identités vietnamiennes : celle de la vielle servante qui connait tous les trucs de la cuisine et la maison, la grand-mère qui croit obstinément dans son religion, la difficulté pour la mère d’être une bonne marie quand son mari l’abandonne, le pianiste qui adore la musique de l’ouest mais tombe amoureux d’une fille de la campagne vietnamien. Ils sont tous un partie de l’identité vietnemien, et ils jouent tous un rôle, s’ils le sachent ou non, en créant cette identité.

Lien au trailer: L'odeur du papaye vert

Sunday, September 20, 2009

Synthèse : « Aimé Césaire : une voix pour l’histoire » et « Afrique, je te plumerai »


Dans « Aimé Césaire : une voix pour l’histoire » et « Afrique je te plumerai » on voit plusieurs thèmes problématiques qui sont les résultats du période colonialisme en Martinique et l’Afrique (spécifiquement Cameroun). En traçant l’héritage colonialiste dans les territoires coloniaux en rencontrant l’histoire d’un fameux écrivain et politique (« Aimé Césaire : une voix pour l’histoire»), et en regardant critique ment l’état des bibliothèques et la préservation de l’histoire dans la période post-colonialiste (« Afrique je te plumerai »), on peut mieux comprendre les complexités des rencontres entre le pouvoir colonial et les colonisées.

Dans « Aimé Césaire : une voix pour l’histoire, » la vie et les contributions de Césaire, célèbre poète et politique est examiné à coté de l’histoire e la négritude et le rapport entre France et ses protectorats et colonies africaines. Césaire, un martiniquais, est devenu non seulement un auteur prolifique mais un homme politique pour plusieurs années mais était un co-fondateur du mouvement de la négritude. Dans le premier film de la trilogie « Une voix pour l’histoire, » le réalisateur raconte l’histoire de l’éducation de Césaire et son sucés dans le monde littéraire. Césaire, qui à gagné une bourse pour aller en France pour continuer ses études, a rencontré les amis de Sénégal (Léopold Senghor) et Guyana (Léon Damas) qui influencèrent ses opinions et position dans son écriture et tendance politique. Le réalisateur nous montrons aussi comment le sucés de Césaire a surpris ses contemporains français. Ces paroles ont étés très impressionnantes aux critiques de la poésie et la littérature, son commande de la langue français « sans parallèle » selon quelques autorités. La seule chose plus impressionnante que son talent avec le stylo c’est le fait que c’est un noir qui tenait ce grand talent. C’est un fait plutôt triste, mais important quand-même à inclure. Le fait qu’un noir écrivait comme ca, c’était vraiment incroyable pendant la fin du période colonialiste, et les réactions d’un nombre de critiques français exprimant leur surprise est preuve que les attitudes raciste envers les noirs étaient bien existantes.

La deuxième partie de la trilogie s’intéresse à nous informer un peu sur l’histoire de la période : les années 1920s et 1930s, Paris est devenu fou du jazz, les œuvres du Harlem renaissance, etc. Pendant la même période, on voit aussi les grands expositions coloniales à Paris et Marseille, ou les indigènes africaines, asiatiques, et les autres, son mis en pleine voie pour la jouissance des français blanche. Le fait que les « zoos humains, » qui traitait les gens comme les animaux dans un spectacle vivant, existé en même temps que la haute société dansait aux chansons des musiciens africaines-américaines nous montrent l’hypocrisie coloniale qui existait pendant cette période. Le fait qu’a un coté on apprécie et respecte la culture du jazz dans les clubs français et à l’autre coté on se moque des cultures « indigènes » en regardant les êtres humains dans les cages serait peut-être difficile à croire. Malheureusement, on à de la preuve dans les anciens affiches et séquences vidéo des deux scènes opposés.


Dans la fin de la deuxième partie et la majorité de la troisième partie de « Un voix pour l’histoire, » on parle plus du mouvement de la négritude, un mouvement littéraire et politique qui établissent une identité noir en rejetant le racisme de la France coloniale. En rejetant l’usage du mot « négre » comme une péjorative, Césaire, Senghor, et Damas ont promus l’idée d’une diaspora africaine unie. Mais le continent de l’Afrique à la veille de l’indépendance n’est pas exactement dans une position d’être unifié tout simplement. Les nouveaux pays de l’Afrique n’étaient pas prêts pour l’indépendance, et en perdant le gouvernement colonial, ils ont perdu aussi la seule infrastructure qu’ils y avaient. Césaire soutient que c’est le manque d’identité en Afrique qui est une partie du problème, et que l’Afrique q besoin d’un modèle différent pour les nouveaux pays ni européenne ni communiste, mais « le choix d’être soi-même. » Le film finit avec la prétention qu’une génération des africains élevés sur les paroles de Césaire ont beaucoup profité de ses conseils, et en dépit des restes des conséquences du colonialisme, on y a du progrès aussi.

« Afrique je te plumerai » commence ou « Un voix pour l’histoire » finisse, en montrant le pays africaine du Cameroun après l’indépendance. Malheureusement, ce film démontre combien peu de progrès a été accompli et l’héritage durable des pays colonisateurs dans le circuit culturel et les bibliothèques en Cameroun. Après avoir nous montré les scènes sanglot antes de la révolution et la lutte pour l’indépendance, on suit une jeune Camerounaise aux centres culturels français, espagnole, et allemand. Dans chaque centre il y en a les bibliothèques qui tiennent les petites sections qui traitent l’histoire et la littérature africaine et camerounaise, mais la majorité des œuvres dans ces centres sont la littérature et histoire du pays colonisateur. C’est pareil dans la librairie chrétienne, ou la majorité des textes ne sont pas liés ou pertinent au Cameroun ou même le continent de l’Afrique. Bien sur le Cameroun et l’Afrique sont encore en train de se reconstruire mais le fait que l’emphase dans la littérature disponible est sur l’Europe et les colonisateurs, c’est un fait problématique. Césaire et les autres qui supportaient la négritude ne seraient pas d’accord avec cette situation, mais en regardant « Afrique je te plumerai, » le continent est sincèrement loin d’être aussi puissant et indépendant car elle peut être. Grace à Césaire et les autres, on a vu beaucoup de progrès, mais il y reste beaucoup de travail à faire.

Thursday, September 17, 2009

Princesse Tam-Tam


Présentation : Joséphine Baker
L’histoire :
-danseuse américaine est rentré a Paris
-revue nègre : elle est montré dénudée, très exotique, sauvage
-carrière d’actrice aussi, de chanteuse
-le corps qui danse, parle, chante—l’évolution de Joséphine Baker
-Est-ce qu’elle a exploiter les stéréotypes coloniales, ou est-ce qu’elle a réussi à subvertir les stéréotypes
-elle était intelligente, elle reconnaissait que la France l’exploite—« ma prochain rôle sera une blanche »
-Princesse Tam-Tam (film)

Premier scene : Alouina dansent dans les ruines
-Alouina (Baker) : costume « indigène », la seule qui n’est pas voilée…les petits enfants sont voilés, les garçons portent leurs chapeaux, mais Alouina, elle porte un costume « Hollywood »
-elle fait la « rou » --pas une danse indigène, sa danse vienne de la gymnastique, quelque chose de l’éducation corporelle
-la danse des stéréotypes égyptiens, le position de Nigensky, le profil a perception frontale, aussi peut-être l’imitation d’un poule (des danses africaines). Un mosaïque des danses, un peu de la danse du ventre (mais très mal)
-elle imite la poupée : une référence aux clubs ou les français imitent lest danses antillaises
« Dansomanie » : toutes les couches de la France sorte en dansant.
-la femme moderne en France ?

Deuxième scène : Max essaie de civiliser Alouina
-si elle mette les vêtements européens, elle peut être civilisée
-on change l’apparence extérieure du corps
-puis, il faut aussi « civiliser l’estomac » en mangeant quand la cloche sonne (et pas quand on veut) : un commentaire sur ses habits
-on peut dormir dans un vrai lit : l’idée d’en bougeant le corps on change la classe sociale

Troisième scène : Alouina danse dans le bar d’une mauvaise réputation
-focalisation de la caméra sur l’alcool dans la scène
-l’ami de la femme de Max
-elle boit de l’alcool
-la manière instinctive qu’elle et le marin danse.
-aussi, elle danse les danses américaines : plus de l’esprit afro-américain qu’africaine !

Dernier scène : la fête du Maharaja (Indien)
-les danseurs chinois, danseuses modernes, l’indien, l’africaine qui joue le tambour
-elle boit trop d’alcool, puis on la pousse à danser
-elle danse comme une fou : un mélange des danses, du gymnastiques, en se déshabillant de la robe européenne (et les apparences européennes) : elle détruit tout le travail que Max à fait.
-le fait que son des tam-tams se libère et la rend comme une animale montre comment c’est probablement impossible de « civiliser » l’autre.

Lien: Josephine Baker dans "Princesse Tam-Tam"

Tuesday, September 15, 2009

L’Indochine enchainée (2)


Après avoir lu quelques autres articles du journal L’Indochine enchainée, c’est clair que ce journal à le but de fournir au public des informations et développements en Indochine qui sont anticolonialistes et pro-Indochine. En montrant les injustices causés par les autorités français aux indochinois, L’Indochine enchainée doivent été une source important pour les perspectives cachées du l’œil public.

« Question annamiles : Eloge de la torture » par André Malraux (Indochine enchainée 2)

Cet article parle de la région de Baclieu (dans le sud de l’Indochine) et l’affaire N---, un agent de police indien « auquel la douceur de ses mœurs a valu auprès des Annamites une certaine célébrité. » L’article est très satirique. « Je ne dis pas que la profession d’agent de police doive être exercée par des jeunes filles, » écrit Malraux, « mais attacher les annamites aux arbres et les frapper jusqu'à la mort, c’est un traitement dont, sans contester sa haute valeur administrative, je dirai que la nécessité ne se fait pas sentir. » M. N---, qui à déclaré qu’il ne pouvait pas être tenu responsable « d’actes qu’il avait exécuté par ordre supérieure.» C’est un exemple puissant des injustices commis par les autorités français, et la mesure dans laquelle ils peuvent échapper la justice. « L’éloge » de la torture est vraiment un critique du fait que les agents puissent torturer les indochinois, vraiment sans conséquence, et un appel de Malraux d’arrêter cette abuse de pouvoir.

« Question annamiles : Pauvres Mois » par P. Monin (Indochine enchainée vol. 3)

Ici Monin discute les conséquences d’une attaque par une soixantaine des pirates Mois sur un colon français dans une province d’Annam. La nouvelle de l’attaque a surpris l’auteur, qui avait des bons amis dans plusieurs villages et a vérifié soi-même « de quelle hospitalité et de quelle probité ils sont coutumiers envers l’hôte qui ne s’affirme pas comme indésirable. » Pour mieux comprendre, il s’est retourné chez ses amis ou il a appris que l’Administration (français) a demandé beaucoup de ces Mois---l’Administration « exige que chaque mois ce village lui fournisse quatre-vingt présentataires au minimum. » Ca faillait beaucoup de travail, assez que que Monin asserte qu’il a le droit de déclarer « en constatant ce vol de vingt quatre-mille huit cent journées de travail commis par l’Administration au préjudice d’un seul village, qu’en fait l’esclavage est rétabli en Indochine. » Grace à ses connaissances-là, c’est facile à voir pourquoi on a les pirates mois qui causent les problèmes pour les français.

Monday, September 14, 2009

Notes en classe sur le Musée Quai-Branly: l'exhibition permanente


-deux chanteuses (africain, indienne)
-les exhibitions des musées
-on rentre dans le tour Eiffel
-une carte interactive
-il y a une valorisation des cultures, c’est un très beau site
-mais il n’y a pas de contexte
-il manque quelque chose---les musées doivent éduquer
-on prend ce qui est beau et on le met dans le musée
-10 mai 2006 : Journée annuelle, Chirac et son discours--i
-le musée : valorise les choses anciennes
-on montre les diasporas-bon. Mais il manque le contexte !!! Ou sont les colonisateurs
-à qui appartiennent les objets ? Est-ce que ils sont les vrais explorateurs ?
-est ce que c’est bien d’apprécier les cultures sans savoir d’où venaient les choses, le contexte ?
-l’incomplétude du collection.



Lien au site Quai-Branly: Le Musee Quai-Branly

Site-web: Le Mémorial des Guerres en Indochine

Le site-web du mémorial des guerres en Indochine commence avec les paroles suivantes :

« La signature du protocole franco-vietnamien de 1986 nécessitait la recherche d'un site pour la construction, en France, d'une nécropole. La proposition de la Ville de Fréjus, qui offrait un terrain, emporta la décision d'un choix qui s'appuyait, en outre, sur le symbolisme des lieux, Fréjus étant ancré dans l'histoire coloniale : un camp destiné aux militaires en partance pour l'Indochine y avait existé. Une pagode, un monument, rappellent encore ces liens que renforce la présence du musée des troupes de marine. »

C’est un bon sentiment—c’est bien de souvenir les hommes qui sont morts en Indochine pendant les guerres. Mais en célébrant les soldats français seuls, les Français abandonnent effectivement l’Indochine qu’ils ont traitée comme leur-même. Le mort des millions d’Indochinois pendant le période coloniale et les guerres n’est pas souvenez du tout. On ne souvienne pas ni servants ni ouvriers ou la police indochinois, ces « autres » : tout l’attention est focalisé sur la perte des soldats de la France.

Lien: http://www.memorial-indochine.org/3_memorial_projet.php

Notes sur "Aimé Césaire : Une voix pour l’histoire" Parties I, II, III

Note : les notes sont en français et anglais à cause du fait que le film est en français et anglais.

Partie I
-Resume historique
-Césaire rentre dans le monde politique
-les amis célèbres : de Sénégal (Chenghor), Guyana ( ?)
-ces paroles sont impressionnants avec leur intelligent, c’est encore plus impressionnant aux français que ce sont les paroles d’un noir.
-Franz Fanon
-Césaire et ses opinions vers le système des départements français--controversiale

Partie II :
-Paris adore le jazz, etc.
-l’exposition coloniale is the total opposite, promotes horrible stereotypes
-protests and the creation of pan-africanism, first discussions of negritude, etc.
-assimiler: strategy of blacks at the time…not to be dominated or conquered.
-Martiniska, Martinique
-negritude: with Senghor and (Guyana)
- le colonisation de-colonize le colonisateur, le “dégrade”, une régression universelle”
-Césaire est toujours frappé par la bonne conscience de l’Europe.
On attaque la conscience claire de l’Europe
- le fondation des groupes negres etc.
1956 : il rejette le communisme et marxisme, son résignation

Partie III :
Mandela est sortie de la prison
Le pillage des negres par les negres---
Le succés du continent africaine
Africa on the eve of independence
Difficulties with new governments, countries—they are unprepared for independence
La nécessité de montrer ou l’homme noir prend la responsabilité pour raconter son propre histoire (poésie etc.)—Césaire, en utilisant le théâtre
Festival in Arica
Lumumba 1961
Le manque d’identité en Afrique
L’Afrique a besoin d’un modèle différent-pas européenne, pas communiste « le choix d’être soi même »
- un génération des africains ont étés elevées sur les paroles de césaire

Grands thèmes du cours et notes de la discussion en classe 9/08

-La mission civilatrice
-les ressources économiques une exploitation économique
-les missionnaires (leur but : de prêcher la religion, pas de coloniser)
Le code noir : la politique essaie de servir de la religion pour justifier
-un problème identitaire à contraste a l’infériorité des autres (une crise d’identité française)
-on se définie à propos des autres.
- la mystère des femmes dans les autres pays.
-les femmes sont orientalisées, exotisme
-le racisme scientifique, le Venus Hottentote
-les stéréotypes qui entourent les français
-le colonialisme : un période de contradiction (le gout de l’exotisme, même aujourd’hui)
-l’obsession de l’orientalisme, la sexualisation de la femme
(The Veil web site, 2000)
-Musée du quai Branly : un effacement des zoos humains, et le musée est construit sur le même place que les zoos.
-l’esclavage moderne : (human trafficking), violence subsiste même aujourd’hui
- extra: Rap and the Riots in France (radio)

Saturday, September 5, 2009

Le Venus hottentote


Le Venus hottentote (née Sawtche) est un autre exemple non seulement de le cruauté de le colonialisme envers les indigènes pendant le dix-neuvième siècle mais aussi de le refus sur le part des anciens colonisateurs et leurs successeurs de réparer les relations avec l’Afrique et Asie dans le vingtième siècle. Le Venus hottentote, « atteinte de stéatopygie (fesses surdimensionnées) et de macronymphie (organes sexuels protubérants), Sawtche devient rapidement un objet de curiosité, mais aussi de convoitise » quand elle a été emporté en Europe, premier comme divertissement et âpres sa mort, Object de curiosité scientifique. Ses restes ont étés finalement retournés et inhumées en Afrique du Sud deux siècles plus tard, et parmi beaucoup de controverse.

Lien : http://terresdefemmes.blogs.com/mon_weblog/2005/04/la_nbspvnus_hot.html

Rencontres franco-asiatiques chez The Ackland Art Museum (Chapel Hill, NC)

Suivez ce lien:

http://docs.google.com/gview?a=v&pid=gmail&attid=0.1&thid=123802207522a6a5&mt=application%2Fpdf&pli=1

Films en Classe : La France est un empire et Slaying the Dragon

Dans notre classe de français nous avons récemment regardé deux films, La France est un empire et Slaying the dragon qui sont très différent mais également important à notre discussion des rencontres franco-asiatiques.


La sélection de La France est un empire qu’on a regardé était un extrait d’un de la période coloniale pour éduquer les spectateurs sur la manière dont la présence française en Afrique et en Asie été en train d’aider les indigènes. Grace au français, « la science remplace la sorcière, » et les clips des français en train d’aider et soigner les pays démontrent comment la mission viciatrice est quelque chose du bon. En fait, cette films est de la propagande, et justifie le colonialisme dans les yeux des spectateurs qui voit dans La France est un empire le bien mas pas le mal dans les colonies et territoires contrôlés par la France.


Dans Slaying the Dragon, on a tout le contraire. Ici, les cinéastes nous montre les vidéos et photos stéréotype des gens asiatiques, particulièrement les femmes, mais en déconstruisant les stéréotypes la dedans. En identifiant les problèmes avec les hommes et femmes « asiatiques » d’Hollywood---le malin, la séductrice, etc. ils discutent comment ces images créent les problèmes pour les asiatiques même aujourd’hui et leurs méthodes d’essayer de changer ces associations négatives.

Friday, September 4, 2009

Film: Indochine (1992)


Le film Indochine, avec Catherine Deneuve, était un des premiers films français qui traite le sujet du colonialisme dans ce qu’on appelle Vietnam aujourd’hui. Deneuve joue le rôle de Eliane, une colonisatrice qui à adopté une Indochinoise et vive sur une grande plantation d’hivea. Leur vie heureuse et compliqué par l’arrive d’un jeun marin, Jean-Baptiste, qui après un liaison avec Eliane, s’implique avec sa fille adoptive Camille et les deux, Camille et Jean Baptiste, devient les refugiés du gouvernement coloniale.
Le film traite quelques aspects de le situation des Indochinois pendant le colonialisme, mais le plupart du film est présenté de le point de vue de Eliane, la française. Les quelques scènes que nous ne voyons qui inclurent les indochinois les dépeignent comme des êtres inférieurs, qui ne parle pas le bon français où comme les gens malhonnêtes. Bien sur, il y en a quelques scènes ou on voit la cruauté des colonisateurs, comme quand Jean-Baptiste enfonce un bateau avec un petit garçon, et le marché d’esclaves, mais Indochine est finalement un drame avec tout le spectacle d’Hollywood. C’est un très beau film, mais il vaut mieux d’aller autre part si on veut apprendre plus des rencontres franco-asiatiques.

Lien au trailer: Indochine (1992)

Thursday, September 3, 2009

Les Zoos Humains (article)


Les « zoos humains » étés les expositions ethnologique qui présentaient les gens indigènes dans leur habitat naturel. Ces « spectacle[s] zoologique[s] » ont apportés les villages africains et autres communautés pour exposer les cultures étrangères dans les expositions vivantes. Le sucés des exhibitions était très impressif : Bancel, etc. écrivent que La fréquentation du Jardin double et atteint, cette année-là, le million d’entrées payantes... Les Parisiens accourent pour découvrir ce que la grande presse qualifie alors de « bande d’animaux exotiques, accompagnés par des individus non moins singuliers. » Malheureusement, ces exhibitions ont perpétué les stéréotypes et ont confirmé le « besoin » pour la « mission civilatrice » des colonisateurs. En fait, « Les zoos humains constituent ainsi un phénomène culturel fondamental - et jusqu’ici totalement occulté - par son ampleur mais aussi parce qu’il permet de comprendre comment se structure le rapport que construit alors la France coloniale, mais aussi l’Europe, à l’autre. »

Lien à l’article : http://www.monde-diplomatique.fr/2000/08/BANCEL/14145
Lien: Video des Zoos humains

Microfilm: Indochine enchainée


L’Indochine enchainée est un journal satirique et politique modélisé après le Canard enchainée, un journal francais. C’est un journal plutôt sympathique a l’Indochine et présente les articles anticoloniales.

Résume d’un Interview de M. Lloyd George sur les conflits des races en Asie (1925) :

Dans cette interview, M. Lloyd George qui fut premier ministre d’Angleterre pendant la guerre et contemporain de Clemenceau discute la tendance à « s’effrayer de la situation des hommes blancs en face des hommes de couleur. » Il commence en parlent des raisons pourquoi les hommes blancs craignent les races de couleur, en parlent du Japon, qui « en 10 ans est devenue une puissance maritime et militaire redoutable, » aux Indes, ou « il existe un trouble indiscutable », l’Afrique, ou « une guerre formidable » cause plusieurs problèmes pour les Européens là-bas, et de l’Egypte, qui « pendant les années…a été une source de troubles. » Même les hommes de couleur aux Etats-Unis sont une source des soucies, et les races aux Philippines posent « encore des nouveaux problèmes aux autorités américaines. »

Mais en dépit du fait que les blancs sont en état d’infériorité (« Les deux cinquièmes de la surface du monde sont peuplés par des races blanches et les trois quarts par des races de couleur »), George dit qu’il ne faut pas se mettre en colère---« être en colère c’est être injuste ». Les pouvoirs blancs ont maltraités les races de couleur, donc ils ont raison d’être fâchés avec les pouvoirs coloniaux. Lloyd a même suggéré que si les blancs changent leur conduit, il sera possible d’éviter un grand conflit.

« Mais, » il conclut, «si les grandes puissances en envisagent pas la question franchement et honnêtement, si elles ne regardent pas les événements, si elles ne regardent pas les événements bien en face, si l’on continue a tolère certaines injustices, si l’on ne fait pas droit et ne donne pas droit aux aspirations légitimes, » c’est finit. Si les pouvoirs blancs ne changent pas leur système de gouverner et la traitement des races de couleur, « il se pourrait bien qu’une autre guerre inévitable soit entrain de mijoter dans les chaudières de diable. »

Tuesday, September 1, 2009

Affiches de L'Autre

Ces deux affiches françaises du vingtième siècle ne traite pas l’Indochine spécifiquement, mais sont importants à la discussion des relations entre le France et ses relations avec les gens ils ont colonisés.


Le premier affiche, décoré les détails arabesques montre le Général de Gaulle en Algérie. Les slogans (en arabe) lit « Nous sommes les fils d’une même patrie » et « Nous sommes tous frères. » C’est un jolie sentiment, mais pas du tout vrai. Oui, l’Algérie est devenue une colonie française, mais les algériens n’avaient pas les même droits et égalités que les « pieds-noirs, » les Français qui habitaient en Algérie. En plus, le fait que de Gaulle, a consentir de donner l’indépendance à l’Algérie en 1962 nous montrent la différence entre la présentation de la France de ses colonies et territoires dans les médias est très différent de comment les citoyens natifs ont étés vraiment traités.


La deuxième affiche, pour l’Exposition Nationale Coloniale de 1922 à Marseille sert comme un rappel puissant de la main ferme de la France sur son terrain colonial et territoire. Cette affiche, montre trois femmes originaires de l’Asie et de l’Afrique dans leur coutume originale, mais le drapeau français qui les entoure nous rappelons qu’elles sont au-dessus le pouvoir de la France. Les femmes, donc, deviennent les symboles pour leurs pays, les pays « féminins » et plus faible que le pouvoir coloniale « masculin » qui les contrôlent.

Wednesday, August 26, 2009

Bienvenue!


Bienvenue a mon site-web pour la classe FREN 383, Rencontres Franco-Asiatiques (Franco-Asian Encounters). Ici j’examine les rencontres culturels francophones et asiatiques et discute les émissions en utilisant une grande variété de sources.