Tuesday, September 15, 2009

L’Indochine enchainée (2)


Après avoir lu quelques autres articles du journal L’Indochine enchainée, c’est clair que ce journal à le but de fournir au public des informations et développements en Indochine qui sont anticolonialistes et pro-Indochine. En montrant les injustices causés par les autorités français aux indochinois, L’Indochine enchainée doivent été une source important pour les perspectives cachées du l’œil public.

« Question annamiles : Eloge de la torture » par André Malraux (Indochine enchainée 2)

Cet article parle de la région de Baclieu (dans le sud de l’Indochine) et l’affaire N---, un agent de police indien « auquel la douceur de ses mœurs a valu auprès des Annamites une certaine célébrité. » L’article est très satirique. « Je ne dis pas que la profession d’agent de police doive être exercée par des jeunes filles, » écrit Malraux, « mais attacher les annamites aux arbres et les frapper jusqu'à la mort, c’est un traitement dont, sans contester sa haute valeur administrative, je dirai que la nécessité ne se fait pas sentir. » M. N---, qui à déclaré qu’il ne pouvait pas être tenu responsable « d’actes qu’il avait exécuté par ordre supérieure.» C’est un exemple puissant des injustices commis par les autorités français, et la mesure dans laquelle ils peuvent échapper la justice. « L’éloge » de la torture est vraiment un critique du fait que les agents puissent torturer les indochinois, vraiment sans conséquence, et un appel de Malraux d’arrêter cette abuse de pouvoir.

« Question annamiles : Pauvres Mois » par P. Monin (Indochine enchainée vol. 3)

Ici Monin discute les conséquences d’une attaque par une soixantaine des pirates Mois sur un colon français dans une province d’Annam. La nouvelle de l’attaque a surpris l’auteur, qui avait des bons amis dans plusieurs villages et a vérifié soi-même « de quelle hospitalité et de quelle probité ils sont coutumiers envers l’hôte qui ne s’affirme pas comme indésirable. » Pour mieux comprendre, il s’est retourné chez ses amis ou il a appris que l’Administration (français) a demandé beaucoup de ces Mois---l’Administration « exige que chaque mois ce village lui fournisse quatre-vingt présentataires au minimum. » Ca faillait beaucoup de travail, assez que que Monin asserte qu’il a le droit de déclarer « en constatant ce vol de vingt quatre-mille huit cent journées de travail commis par l’Administration au préjudice d’un seul village, qu’en fait l’esclavage est rétabli en Indochine. » Grace à ses connaissances-là, c’est facile à voir pourquoi on a les pirates mois qui causent les problèmes pour les français.

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