
Présentation : Joséphine Baker
L’histoire :
-danseuse américaine est rentré a Paris
-revue nègre : elle est montré dénudée, très exotique, sauvage
-carrière d’actrice aussi, de chanteuse
-le corps qui danse, parle, chante—l’évolution de Joséphine Baker
-Est-ce qu’elle a exploiter les stéréotypes coloniales, ou est-ce qu’elle a réussi à subvertir les stéréotypes
-elle était intelligente, elle reconnaissait que la France l’exploite—« ma prochain rôle sera une blanche »
-Princesse Tam-Tam (film)
Premier scene : Alouina dansent dans les ruines
-Alouina (Baker) : costume « indigène », la seule qui n’est pas voilée…les petits enfants sont voilés, les garçons portent leurs chapeaux, mais Alouina, elle porte un costume « Hollywood »
-elle fait la « rou » --pas une danse indigène, sa danse vienne de la gymnastique, quelque chose de l’éducation corporelle
-la danse des stéréotypes égyptiens, le position de Nigensky, le profil a perception frontale, aussi peut-être l’imitation d’un poule (des danses africaines). Un mosaïque des danses, un peu de la danse du ventre (mais très mal)
-elle imite la poupée : une référence aux clubs ou les français imitent lest danses antillaises
« Dansomanie » : toutes les couches de la France sorte en dansant.
-la femme moderne en France ?
Deuxième scène : Max essaie de civiliser Alouina
-si elle mette les vêtements européens, elle peut être civilisée
-on change l’apparence extérieure du corps
-puis, il faut aussi « civiliser l’estomac » en mangeant quand la cloche sonne (et pas quand on veut) : un commentaire sur ses habits
-on peut dormir dans un vrai lit : l’idée d’en bougeant le corps on change la classe sociale
Troisième scène : Alouina danse dans le bar d’une mauvaise réputation
-focalisation de la caméra sur l’alcool dans la scène
-l’ami de la femme de Max
-elle boit de l’alcool
-la manière instinctive qu’elle et le marin danse.
-aussi, elle danse les danses américaines : plus de l’esprit afro-américain qu’africaine !
Dernier scène : la fête du Maharaja (Indien)
-les danseurs chinois, danseuses modernes, l’indien, l’africaine qui joue le tambour
-elle boit trop d’alcool, puis on la pousse à danser
-elle danse comme une fou : un mélange des danses, du gymnastiques, en se déshabillant de la robe européenne (et les apparences européennes) : elle détruit tout le travail que Max à fait.
-le fait que son des tam-tams se libère et la rend comme une animale montre comment c’est probablement impossible de « civiliser » l’autre.
Lien: Josephine Baker dans "Princesse Tam-Tam"
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