
Marguerite Duras était un auteur célèbre français ; née en Cochinchine ses œuvres autofiction (un mélange de la fiction et de l’autobiographie) donnent au lecteur un aperçu de la vie des pauvres blancs en l’Indochine. À la suite de ce statut social, elle a connu un certain nombre de choses différentes des françaises et vietnamiennes que nous avons déjà étudié dans des œuvres antérieures ou la majorité des histoires traitent les colonialistes riche et les pauvres asiatiques. Dans Un barrage contre le Pacifique et L’Amant, Duras présente de nombreuses problématiques, questions, et thèmes qui ont influencé non seulement la vie de ses personnages et sa propre vie en l’Indochine mais illustrent la complexité des relations franco-asiatiques pendant cette période.
Avant de lire Duras, nous avons regardé un documentaire biographique de sa vie. Dans ce film, nous avons appris un peu de l’histoire de sa famille et ses pensées sur l’amour, la maternité, et l’inégalité. Ce sont les détails qu’on trouvera plus tard dans ces œuvres littéraires.
Selon Duras, l’amour d’une mère, c’est qu’elle ne cesserait « jamais » d’aimer son fils. Cette idée, l’importance du fils, reviendrait à la fois dans Un barrage contre le Pacifique et L’amant. Dès le début de Un barrage contre le Pacifique c’est clair que la mère préfère Joseph, le fils ainé, a sa fille, Suzanne. Le dynamique de cette famille est problématique : la mère têtue, naïf, et dépendante ne réalise pas que c’est sa fille qui est beaucoup plu stable et travaillante, elle reste convaincu que c’est son fils (qui est réellement irresponsable et matérialiste) qui est le meilleur. Ses menaces de quitter la famille ne font que renforcer son lien illogique de la seule figure masculine dans sa vie.
Nous voyons une situation similaire dans L’amant. Ici, le frère aîné exerce le pouvoir dans la famille, et sa mère, sa fille (notre narratrice) et le cadet se plier à sa volonté. L'absence d'un père fort est peut-être une façon de commenter sur l'inefficacité du colonialisme français en prenant soin des pauvres blancs et indigènes dans les colonies. L’incapacité des frères ainés de s’occuper des autres, et l’incapacité des femmes de prenant charge dans le système colonialiste couplé avec l’interdiction des asiatiques de prendre en charge sur les blancs, laisse la société avec aucun solution pour améliorer leur situation.
Duras rappelle un événement dans sa propre vie dans Un barrage contre le pacifique qui montre l’incapacité des colonialistes de s’occuper des autres ou même eux-mêmes. On sait que la mère de Duras, après le mort de son père, a fait un mauvais investissement dans une propriété agricole. La famille vivait dans la pauvreté pour plusieurs années dans isolations grâce à cette erreur d’investissement. La mère dans Un Barrage contre le Pacifique a fait la même chose, en plus, elle donne de travail aux indochinois qui habitent sur cette terre en leur demandant de construire un barrage contre la mer pour protéger le terre de l’océan qui se gonfle pendant les orages. Mais au lieu d’aider les indigènes, comme elle pensait, elle les ait blessés et affamés lorsque le barrage à été détruit et tout était perdu. Cela n’a pas surpris les indochinois, mais la mère ne leur écoutera jamais : elle est un pauvre colonialiste, mais colonialiste tout de même, et cette statut sociale est irrévocable.
L’irrévocabilité des conditions sociales est un grand thème dans L’amant aussi, mais la situation dans laquelle c’est traité est un très différent, qui démontre les complexités problématiques causés par le système coloniale. Dans L’amant, la jeune narratrice, une pauvre blanche commence une relation avec un riche chinois plus âgé. Il faut noter qu’un nombre de Chinois était traités différâmes des indochinois pendant cette période : les chinois comme l’amant du roman ont gardés leur argent et comprennent une classe sociale plus haut que celle des indochinois mais séparé des blancs. Donc, cette relation avec le chinois est condamnée pour plusieurs raisons. C’est interdit non seulement parce que c’est une relation interraciale, et aussi parce qu’ils sont des classes différents : elle est pauvre et il faut que le chinois épouse une chinoise du même statut sociale que lui. Mais en même temps, le fait qu’elle est blanche la rend plus haut que lui, quoi qu’il soit riche. Le double standard complexe du système colonial est aussi frustrant car il est limité, donc il n'est pas surprenant que Duras, qui a basé l'histoire hors de sa propre relation avec un chinois, était un communiste pendant toute sa vie. « Même si ca sera jamais possible, » dit-elle dans le documentaire biographique, elle croyait que le communisme soit la meilleure façon de combattre l’injustice.
En fait, si oui ou non le communisme serait une solution viable aux problèmes de Duras et ses personnages est discutable, mais la complexité de leurs situations révèle l'inefficacité du système colonial et les problèmes que ce système a causé les pauvres blancs et indigènes en Indochine.
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