Monday, September 28, 2009

Film: "L'odeur du papaye verte" (1993)


« L’odeur de la papaye verte » est un joli film qui rencontre l’histoire de Mui, une jeune vietnamienne qui vient a la maison d’une riche famille vietnamienne. L’histoire est présentée lentement et subtilement, et il y en a plusieurs détails riches qui contribuent à la beauté de l’histoire.

La majorité du filme passe dans l’espace restreint d’une maison : premier la maison d’une grande famille, et deuxièmement la maison du pianiste. Mui est servante, donc c’est logique qu’elle reste dans la maison, mais en observant les maitres on voit que tout le monde est prisonnier d’un sort de la maison. Cette fait devient plus clair quand le père s’échappe de la maison---son départ rend tout le monde à réalisé comment ils sont immobiles dans leur station.
La musique joue un très grand rôle dans « L’odeur du papaye vert. » au début du film, on entend le père de la maison en jouant un instrument traditionnel le soir. C’est clair que cette musique est très important à lui car il ne fait pas trop attention a la mère qui lui parle du fait que leur fils ainé n’as pas encore rentré et la nouvelle servante est arrivé. Son musique, et bien les sons quotidiennes de la vie à la maison sont toujours interrompes par le couvre-feu qui hurle le soir. Même dans cette maison traditionnelle, on ne peut pas oublier qu’il y a une guerre qui les entoure. La musique européenne du pianiste, l’ami du fils ainé et nouveau maitre de Mui, par contre, semble d’effacer le son du couvre feu même dans le tempête, la musique classique règne peut-être c’est un son d’un couvre-feu symbolique---en jouant le piano, le pianiste reste chez lui.

Pouvons-nous identifier avec les personnages ? Ca dépend. Moi, je n’ai jamais été servante et je ne suis pas vietnamienne. Mais en même temps, la souffrance de la famille avec le départ et le mort du père et l’histoire de la servante qui gagne le cœur de son maitre (ou, sa maitresse: la mère pense à Mui comme sa fille) sont les thèmes universels dans le drame humaine.

Mais il y en a un message pour le public en regardant cette reconstruction d’un période historique du Vietnam. Le fait qu’il n’y en a aucun français dans cette film montre comment le Vietnam est en reconstruisant, complète avec les classes sociales ou les pauvres servent les riches. Mais les vestiges du colonialisme le diplôme du pianiste d’une école français, l’habillement de son fiancé, montre que l’ouest joue encore un rôle ici.

Le message sur l’identité vietnamienne, alors, est un peu compliqué. Enfin, on voit plusieurs identités vietnamiennes : celle de la vielle servante qui connait tous les trucs de la cuisine et la maison, la grand-mère qui croit obstinément dans son religion, la difficulté pour la mère d’être une bonne marie quand son mari l’abandonne, le pianiste qui adore la musique de l’ouest mais tombe amoureux d’une fille de la campagne vietnamien. Ils sont tous un partie de l’identité vietnemien, et ils jouent tous un rôle, s’ils le sachent ou non, en créant cette identité.

Lien au trailer: L'odeur du papaye vert

Sunday, September 20, 2009

Synthèse : « Aimé Césaire : une voix pour l’histoire » et « Afrique, je te plumerai »


Dans « Aimé Césaire : une voix pour l’histoire » et « Afrique je te plumerai » on voit plusieurs thèmes problématiques qui sont les résultats du période colonialisme en Martinique et l’Afrique (spécifiquement Cameroun). En traçant l’héritage colonialiste dans les territoires coloniaux en rencontrant l’histoire d’un fameux écrivain et politique (« Aimé Césaire : une voix pour l’histoire»), et en regardant critique ment l’état des bibliothèques et la préservation de l’histoire dans la période post-colonialiste (« Afrique je te plumerai »), on peut mieux comprendre les complexités des rencontres entre le pouvoir colonial et les colonisées.

Dans « Aimé Césaire : une voix pour l’histoire, » la vie et les contributions de Césaire, célèbre poète et politique est examiné à coté de l’histoire e la négritude et le rapport entre France et ses protectorats et colonies africaines. Césaire, un martiniquais, est devenu non seulement un auteur prolifique mais un homme politique pour plusieurs années mais était un co-fondateur du mouvement de la négritude. Dans le premier film de la trilogie « Une voix pour l’histoire, » le réalisateur raconte l’histoire de l’éducation de Césaire et son sucés dans le monde littéraire. Césaire, qui à gagné une bourse pour aller en France pour continuer ses études, a rencontré les amis de Sénégal (Léopold Senghor) et Guyana (Léon Damas) qui influencèrent ses opinions et position dans son écriture et tendance politique. Le réalisateur nous montrons aussi comment le sucés de Césaire a surpris ses contemporains français. Ces paroles ont étés très impressionnantes aux critiques de la poésie et la littérature, son commande de la langue français « sans parallèle » selon quelques autorités. La seule chose plus impressionnante que son talent avec le stylo c’est le fait que c’est un noir qui tenait ce grand talent. C’est un fait plutôt triste, mais important quand-même à inclure. Le fait qu’un noir écrivait comme ca, c’était vraiment incroyable pendant la fin du période colonialiste, et les réactions d’un nombre de critiques français exprimant leur surprise est preuve que les attitudes raciste envers les noirs étaient bien existantes.

La deuxième partie de la trilogie s’intéresse à nous informer un peu sur l’histoire de la période : les années 1920s et 1930s, Paris est devenu fou du jazz, les œuvres du Harlem renaissance, etc. Pendant la même période, on voit aussi les grands expositions coloniales à Paris et Marseille, ou les indigènes africaines, asiatiques, et les autres, son mis en pleine voie pour la jouissance des français blanche. Le fait que les « zoos humains, » qui traitait les gens comme les animaux dans un spectacle vivant, existé en même temps que la haute société dansait aux chansons des musiciens africaines-américaines nous montrent l’hypocrisie coloniale qui existait pendant cette période. Le fait qu’a un coté on apprécie et respecte la culture du jazz dans les clubs français et à l’autre coté on se moque des cultures « indigènes » en regardant les êtres humains dans les cages serait peut-être difficile à croire. Malheureusement, on à de la preuve dans les anciens affiches et séquences vidéo des deux scènes opposés.


Dans la fin de la deuxième partie et la majorité de la troisième partie de « Un voix pour l’histoire, » on parle plus du mouvement de la négritude, un mouvement littéraire et politique qui établissent une identité noir en rejetant le racisme de la France coloniale. En rejetant l’usage du mot « négre » comme une péjorative, Césaire, Senghor, et Damas ont promus l’idée d’une diaspora africaine unie. Mais le continent de l’Afrique à la veille de l’indépendance n’est pas exactement dans une position d’être unifié tout simplement. Les nouveaux pays de l’Afrique n’étaient pas prêts pour l’indépendance, et en perdant le gouvernement colonial, ils ont perdu aussi la seule infrastructure qu’ils y avaient. Césaire soutient que c’est le manque d’identité en Afrique qui est une partie du problème, et que l’Afrique q besoin d’un modèle différent pour les nouveaux pays ni européenne ni communiste, mais « le choix d’être soi-même. » Le film finit avec la prétention qu’une génération des africains élevés sur les paroles de Césaire ont beaucoup profité de ses conseils, et en dépit des restes des conséquences du colonialisme, on y a du progrès aussi.

« Afrique je te plumerai » commence ou « Un voix pour l’histoire » finisse, en montrant le pays africaine du Cameroun après l’indépendance. Malheureusement, ce film démontre combien peu de progrès a été accompli et l’héritage durable des pays colonisateurs dans le circuit culturel et les bibliothèques en Cameroun. Après avoir nous montré les scènes sanglot antes de la révolution et la lutte pour l’indépendance, on suit une jeune Camerounaise aux centres culturels français, espagnole, et allemand. Dans chaque centre il y en a les bibliothèques qui tiennent les petites sections qui traitent l’histoire et la littérature africaine et camerounaise, mais la majorité des œuvres dans ces centres sont la littérature et histoire du pays colonisateur. C’est pareil dans la librairie chrétienne, ou la majorité des textes ne sont pas liés ou pertinent au Cameroun ou même le continent de l’Afrique. Bien sur le Cameroun et l’Afrique sont encore en train de se reconstruire mais le fait que l’emphase dans la littérature disponible est sur l’Europe et les colonisateurs, c’est un fait problématique. Césaire et les autres qui supportaient la négritude ne seraient pas d’accord avec cette situation, mais en regardant « Afrique je te plumerai, » le continent est sincèrement loin d’être aussi puissant et indépendant car elle peut être. Grace à Césaire et les autres, on a vu beaucoup de progrès, mais il y reste beaucoup de travail à faire.

Thursday, September 17, 2009

Princesse Tam-Tam


Présentation : Joséphine Baker
L’histoire :
-danseuse américaine est rentré a Paris
-revue nègre : elle est montré dénudée, très exotique, sauvage
-carrière d’actrice aussi, de chanteuse
-le corps qui danse, parle, chante—l’évolution de Joséphine Baker
-Est-ce qu’elle a exploiter les stéréotypes coloniales, ou est-ce qu’elle a réussi à subvertir les stéréotypes
-elle était intelligente, elle reconnaissait que la France l’exploite—« ma prochain rôle sera une blanche »
-Princesse Tam-Tam (film)

Premier scene : Alouina dansent dans les ruines
-Alouina (Baker) : costume « indigène », la seule qui n’est pas voilée…les petits enfants sont voilés, les garçons portent leurs chapeaux, mais Alouina, elle porte un costume « Hollywood »
-elle fait la « rou » --pas une danse indigène, sa danse vienne de la gymnastique, quelque chose de l’éducation corporelle
-la danse des stéréotypes égyptiens, le position de Nigensky, le profil a perception frontale, aussi peut-être l’imitation d’un poule (des danses africaines). Un mosaïque des danses, un peu de la danse du ventre (mais très mal)
-elle imite la poupée : une référence aux clubs ou les français imitent lest danses antillaises
« Dansomanie » : toutes les couches de la France sorte en dansant.
-la femme moderne en France ?

Deuxième scène : Max essaie de civiliser Alouina
-si elle mette les vêtements européens, elle peut être civilisée
-on change l’apparence extérieure du corps
-puis, il faut aussi « civiliser l’estomac » en mangeant quand la cloche sonne (et pas quand on veut) : un commentaire sur ses habits
-on peut dormir dans un vrai lit : l’idée d’en bougeant le corps on change la classe sociale

Troisième scène : Alouina danse dans le bar d’une mauvaise réputation
-focalisation de la caméra sur l’alcool dans la scène
-l’ami de la femme de Max
-elle boit de l’alcool
-la manière instinctive qu’elle et le marin danse.
-aussi, elle danse les danses américaines : plus de l’esprit afro-américain qu’africaine !

Dernier scène : la fête du Maharaja (Indien)
-les danseurs chinois, danseuses modernes, l’indien, l’africaine qui joue le tambour
-elle boit trop d’alcool, puis on la pousse à danser
-elle danse comme une fou : un mélange des danses, du gymnastiques, en se déshabillant de la robe européenne (et les apparences européennes) : elle détruit tout le travail que Max à fait.
-le fait que son des tam-tams se libère et la rend comme une animale montre comment c’est probablement impossible de « civiliser » l’autre.

Lien: Josephine Baker dans "Princesse Tam-Tam"

Tuesday, September 15, 2009

L’Indochine enchainée (2)


Après avoir lu quelques autres articles du journal L’Indochine enchainée, c’est clair que ce journal à le but de fournir au public des informations et développements en Indochine qui sont anticolonialistes et pro-Indochine. En montrant les injustices causés par les autorités français aux indochinois, L’Indochine enchainée doivent été une source important pour les perspectives cachées du l’œil public.

« Question annamiles : Eloge de la torture » par André Malraux (Indochine enchainée 2)

Cet article parle de la région de Baclieu (dans le sud de l’Indochine) et l’affaire N---, un agent de police indien « auquel la douceur de ses mœurs a valu auprès des Annamites une certaine célébrité. » L’article est très satirique. « Je ne dis pas que la profession d’agent de police doive être exercée par des jeunes filles, » écrit Malraux, « mais attacher les annamites aux arbres et les frapper jusqu'à la mort, c’est un traitement dont, sans contester sa haute valeur administrative, je dirai que la nécessité ne se fait pas sentir. » M. N---, qui à déclaré qu’il ne pouvait pas être tenu responsable « d’actes qu’il avait exécuté par ordre supérieure.» C’est un exemple puissant des injustices commis par les autorités français, et la mesure dans laquelle ils peuvent échapper la justice. « L’éloge » de la torture est vraiment un critique du fait que les agents puissent torturer les indochinois, vraiment sans conséquence, et un appel de Malraux d’arrêter cette abuse de pouvoir.

« Question annamiles : Pauvres Mois » par P. Monin (Indochine enchainée vol. 3)

Ici Monin discute les conséquences d’une attaque par une soixantaine des pirates Mois sur un colon français dans une province d’Annam. La nouvelle de l’attaque a surpris l’auteur, qui avait des bons amis dans plusieurs villages et a vérifié soi-même « de quelle hospitalité et de quelle probité ils sont coutumiers envers l’hôte qui ne s’affirme pas comme indésirable. » Pour mieux comprendre, il s’est retourné chez ses amis ou il a appris que l’Administration (français) a demandé beaucoup de ces Mois---l’Administration « exige que chaque mois ce village lui fournisse quatre-vingt présentataires au minimum. » Ca faillait beaucoup de travail, assez que que Monin asserte qu’il a le droit de déclarer « en constatant ce vol de vingt quatre-mille huit cent journées de travail commis par l’Administration au préjudice d’un seul village, qu’en fait l’esclavage est rétabli en Indochine. » Grace à ses connaissances-là, c’est facile à voir pourquoi on a les pirates mois qui causent les problèmes pour les français.

Monday, September 14, 2009

Notes en classe sur le Musée Quai-Branly: l'exhibition permanente


-deux chanteuses (africain, indienne)
-les exhibitions des musées
-on rentre dans le tour Eiffel
-une carte interactive
-il y a une valorisation des cultures, c’est un très beau site
-mais il n’y a pas de contexte
-il manque quelque chose---les musées doivent éduquer
-on prend ce qui est beau et on le met dans le musée
-10 mai 2006 : Journée annuelle, Chirac et son discours--i
-le musée : valorise les choses anciennes
-on montre les diasporas-bon. Mais il manque le contexte !!! Ou sont les colonisateurs
-à qui appartiennent les objets ? Est-ce que ils sont les vrais explorateurs ?
-est ce que c’est bien d’apprécier les cultures sans savoir d’où venaient les choses, le contexte ?
-l’incomplétude du collection.



Lien au site Quai-Branly: Le Musee Quai-Branly

Site-web: Le Mémorial des Guerres en Indochine

Le site-web du mémorial des guerres en Indochine commence avec les paroles suivantes :

« La signature du protocole franco-vietnamien de 1986 nécessitait la recherche d'un site pour la construction, en France, d'une nécropole. La proposition de la Ville de Fréjus, qui offrait un terrain, emporta la décision d'un choix qui s'appuyait, en outre, sur le symbolisme des lieux, Fréjus étant ancré dans l'histoire coloniale : un camp destiné aux militaires en partance pour l'Indochine y avait existé. Une pagode, un monument, rappellent encore ces liens que renforce la présence du musée des troupes de marine. »

C’est un bon sentiment—c’est bien de souvenir les hommes qui sont morts en Indochine pendant les guerres. Mais en célébrant les soldats français seuls, les Français abandonnent effectivement l’Indochine qu’ils ont traitée comme leur-même. Le mort des millions d’Indochinois pendant le période coloniale et les guerres n’est pas souvenez du tout. On ne souvienne pas ni servants ni ouvriers ou la police indochinois, ces « autres » : tout l’attention est focalisé sur la perte des soldats de la France.

Lien: http://www.memorial-indochine.org/3_memorial_projet.php

Notes sur "Aimé Césaire : Une voix pour l’histoire" Parties I, II, III

Note : les notes sont en français et anglais à cause du fait que le film est en français et anglais.

Partie I
-Resume historique
-Césaire rentre dans le monde politique
-les amis célèbres : de Sénégal (Chenghor), Guyana ( ?)
-ces paroles sont impressionnants avec leur intelligent, c’est encore plus impressionnant aux français que ce sont les paroles d’un noir.
-Franz Fanon
-Césaire et ses opinions vers le système des départements français--controversiale

Partie II :
-Paris adore le jazz, etc.
-l’exposition coloniale is the total opposite, promotes horrible stereotypes
-protests and the creation of pan-africanism, first discussions of negritude, etc.
-assimiler: strategy of blacks at the time…not to be dominated or conquered.
-Martiniska, Martinique
-negritude: with Senghor and (Guyana)
- le colonisation de-colonize le colonisateur, le “dégrade”, une régression universelle”
-Césaire est toujours frappé par la bonne conscience de l’Europe.
On attaque la conscience claire de l’Europe
- le fondation des groupes negres etc.
1956 : il rejette le communisme et marxisme, son résignation

Partie III :
Mandela est sortie de la prison
Le pillage des negres par les negres---
Le succés du continent africaine
Africa on the eve of independence
Difficulties with new governments, countries—they are unprepared for independence
La nécessité de montrer ou l’homme noir prend la responsabilité pour raconter son propre histoire (poésie etc.)—Césaire, en utilisant le théâtre
Festival in Arica
Lumumba 1961
Le manque d’identité en Afrique
L’Afrique a besoin d’un modèle différent-pas européenne, pas communiste « le choix d’être soi même »
- un génération des africains ont étés elevées sur les paroles de césaire

Grands thèmes du cours et notes de la discussion en classe 9/08

-La mission civilatrice
-les ressources économiques une exploitation économique
-les missionnaires (leur but : de prêcher la religion, pas de coloniser)
Le code noir : la politique essaie de servir de la religion pour justifier
-un problème identitaire à contraste a l’infériorité des autres (une crise d’identité française)
-on se définie à propos des autres.
- la mystère des femmes dans les autres pays.
-les femmes sont orientalisées, exotisme
-le racisme scientifique, le Venus Hottentote
-les stéréotypes qui entourent les français
-le colonialisme : un période de contradiction (le gout de l’exotisme, même aujourd’hui)
-l’obsession de l’orientalisme, la sexualisation de la femme
(The Veil web site, 2000)
-Musée du quai Branly : un effacement des zoos humains, et le musée est construit sur le même place que les zoos.
-l’esclavage moderne : (human trafficking), violence subsiste même aujourd’hui
- extra: Rap and the Riots in France (radio)

Saturday, September 5, 2009

Le Venus hottentote


Le Venus hottentote (née Sawtche) est un autre exemple non seulement de le cruauté de le colonialisme envers les indigènes pendant le dix-neuvième siècle mais aussi de le refus sur le part des anciens colonisateurs et leurs successeurs de réparer les relations avec l’Afrique et Asie dans le vingtième siècle. Le Venus hottentote, « atteinte de stéatopygie (fesses surdimensionnées) et de macronymphie (organes sexuels protubérants), Sawtche devient rapidement un objet de curiosité, mais aussi de convoitise » quand elle a été emporté en Europe, premier comme divertissement et âpres sa mort, Object de curiosité scientifique. Ses restes ont étés finalement retournés et inhumées en Afrique du Sud deux siècles plus tard, et parmi beaucoup de controverse.

Lien : http://terresdefemmes.blogs.com/mon_weblog/2005/04/la_nbspvnus_hot.html

Rencontres franco-asiatiques chez The Ackland Art Museum (Chapel Hill, NC)

Suivez ce lien:

http://docs.google.com/gview?a=v&pid=gmail&attid=0.1&thid=123802207522a6a5&mt=application%2Fpdf&pli=1

Films en Classe : La France est un empire et Slaying the Dragon

Dans notre classe de français nous avons récemment regardé deux films, La France est un empire et Slaying the dragon qui sont très différent mais également important à notre discussion des rencontres franco-asiatiques.


La sélection de La France est un empire qu’on a regardé était un extrait d’un de la période coloniale pour éduquer les spectateurs sur la manière dont la présence française en Afrique et en Asie été en train d’aider les indigènes. Grace au français, « la science remplace la sorcière, » et les clips des français en train d’aider et soigner les pays démontrent comment la mission viciatrice est quelque chose du bon. En fait, cette films est de la propagande, et justifie le colonialisme dans les yeux des spectateurs qui voit dans La France est un empire le bien mas pas le mal dans les colonies et territoires contrôlés par la France.


Dans Slaying the Dragon, on a tout le contraire. Ici, les cinéastes nous montre les vidéos et photos stéréotype des gens asiatiques, particulièrement les femmes, mais en déconstruisant les stéréotypes la dedans. En identifiant les problèmes avec les hommes et femmes « asiatiques » d’Hollywood---le malin, la séductrice, etc. ils discutent comment ces images créent les problèmes pour les asiatiques même aujourd’hui et leurs méthodes d’essayer de changer ces associations négatives.

Friday, September 4, 2009

Film: Indochine (1992)


Le film Indochine, avec Catherine Deneuve, était un des premiers films français qui traite le sujet du colonialisme dans ce qu’on appelle Vietnam aujourd’hui. Deneuve joue le rôle de Eliane, une colonisatrice qui à adopté une Indochinoise et vive sur une grande plantation d’hivea. Leur vie heureuse et compliqué par l’arrive d’un jeun marin, Jean-Baptiste, qui après un liaison avec Eliane, s’implique avec sa fille adoptive Camille et les deux, Camille et Jean Baptiste, devient les refugiés du gouvernement coloniale.
Le film traite quelques aspects de le situation des Indochinois pendant le colonialisme, mais le plupart du film est présenté de le point de vue de Eliane, la française. Les quelques scènes que nous ne voyons qui inclurent les indochinois les dépeignent comme des êtres inférieurs, qui ne parle pas le bon français où comme les gens malhonnêtes. Bien sur, il y en a quelques scènes ou on voit la cruauté des colonisateurs, comme quand Jean-Baptiste enfonce un bateau avec un petit garçon, et le marché d’esclaves, mais Indochine est finalement un drame avec tout le spectacle d’Hollywood. C’est un très beau film, mais il vaut mieux d’aller autre part si on veut apprendre plus des rencontres franco-asiatiques.

Lien au trailer: Indochine (1992)

Thursday, September 3, 2009

Les Zoos Humains (article)


Les « zoos humains » étés les expositions ethnologique qui présentaient les gens indigènes dans leur habitat naturel. Ces « spectacle[s] zoologique[s] » ont apportés les villages africains et autres communautés pour exposer les cultures étrangères dans les expositions vivantes. Le sucés des exhibitions était très impressif : Bancel, etc. écrivent que La fréquentation du Jardin double et atteint, cette année-là, le million d’entrées payantes... Les Parisiens accourent pour découvrir ce que la grande presse qualifie alors de « bande d’animaux exotiques, accompagnés par des individus non moins singuliers. » Malheureusement, ces exhibitions ont perpétué les stéréotypes et ont confirmé le « besoin » pour la « mission civilatrice » des colonisateurs. En fait, « Les zoos humains constituent ainsi un phénomène culturel fondamental - et jusqu’ici totalement occulté - par son ampleur mais aussi parce qu’il permet de comprendre comment se structure le rapport que construit alors la France coloniale, mais aussi l’Europe, à l’autre. »

Lien à l’article : http://www.monde-diplomatique.fr/2000/08/BANCEL/14145
Lien: Video des Zoos humains

Microfilm: Indochine enchainée


L’Indochine enchainée est un journal satirique et politique modélisé après le Canard enchainée, un journal francais. C’est un journal plutôt sympathique a l’Indochine et présente les articles anticoloniales.

Résume d’un Interview de M. Lloyd George sur les conflits des races en Asie (1925) :

Dans cette interview, M. Lloyd George qui fut premier ministre d’Angleterre pendant la guerre et contemporain de Clemenceau discute la tendance à « s’effrayer de la situation des hommes blancs en face des hommes de couleur. » Il commence en parlent des raisons pourquoi les hommes blancs craignent les races de couleur, en parlent du Japon, qui « en 10 ans est devenue une puissance maritime et militaire redoutable, » aux Indes, ou « il existe un trouble indiscutable », l’Afrique, ou « une guerre formidable » cause plusieurs problèmes pour les Européens là-bas, et de l’Egypte, qui « pendant les années…a été une source de troubles. » Même les hommes de couleur aux Etats-Unis sont une source des soucies, et les races aux Philippines posent « encore des nouveaux problèmes aux autorités américaines. »

Mais en dépit du fait que les blancs sont en état d’infériorité (« Les deux cinquièmes de la surface du monde sont peuplés par des races blanches et les trois quarts par des races de couleur »), George dit qu’il ne faut pas se mettre en colère---« être en colère c’est être injuste ». Les pouvoirs blancs ont maltraités les races de couleur, donc ils ont raison d’être fâchés avec les pouvoirs coloniaux. Lloyd a même suggéré que si les blancs changent leur conduit, il sera possible d’éviter un grand conflit.

« Mais, » il conclut, «si les grandes puissances en envisagent pas la question franchement et honnêtement, si elles ne regardent pas les événements, si elles ne regardent pas les événements bien en face, si l’on continue a tolère certaines injustices, si l’on ne fait pas droit et ne donne pas droit aux aspirations légitimes, » c’est finit. Si les pouvoirs blancs ne changent pas leur système de gouverner et la traitement des races de couleur, « il se pourrait bien qu’une autre guerre inévitable soit entrain de mijoter dans les chaudières de diable. »

Tuesday, September 1, 2009

Affiches de L'Autre

Ces deux affiches françaises du vingtième siècle ne traite pas l’Indochine spécifiquement, mais sont importants à la discussion des relations entre le France et ses relations avec les gens ils ont colonisés.


Le premier affiche, décoré les détails arabesques montre le Général de Gaulle en Algérie. Les slogans (en arabe) lit « Nous sommes les fils d’une même patrie » et « Nous sommes tous frères. » C’est un jolie sentiment, mais pas du tout vrai. Oui, l’Algérie est devenue une colonie française, mais les algériens n’avaient pas les même droits et égalités que les « pieds-noirs, » les Français qui habitaient en Algérie. En plus, le fait que de Gaulle, a consentir de donner l’indépendance à l’Algérie en 1962 nous montrent la différence entre la présentation de la France de ses colonies et territoires dans les médias est très différent de comment les citoyens natifs ont étés vraiment traités.


La deuxième affiche, pour l’Exposition Nationale Coloniale de 1922 à Marseille sert comme un rappel puissant de la main ferme de la France sur son terrain colonial et territoire. Cette affiche, montre trois femmes originaires de l’Asie et de l’Afrique dans leur coutume originale, mais le drapeau français qui les entoure nous rappelons qu’elles sont au-dessus le pouvoir de la France. Les femmes, donc, deviennent les symboles pour leurs pays, les pays « féminins » et plus faible que le pouvoir coloniale « masculin » qui les contrôlent.