FREN 383 Projet Final (10 minutes)
Sources :
• Chai, May-Lee. Hapa Girl: a memoir. Philadelphia: Temple UP, 2007. Print.
• Daughter from Danang. Dir. Gail Dolgin and Vincent Franco. PBS Home Video, 2002. DVD.
• Fulbeck, Kip. Part Asian, 100% Hapa. San Fransisco: Chronicle Books, 2006. Print.
• Lefevre, Kim. Metisse Blanche. City: Publisher, Year. Print.
• Websites: http://www.daughterfromdanang.com, http://www.seaweedproductions.com
Outline:
1) Métissage
a. Definition de métisse et l’usage
b. Kim Lefevre
c. Daughter from Danang
2) Hapas
a. Definition de hapa et l’usage
b. Kip Fulbeck (Hapa project)
c. May-Lee Chai (Hapa girl)
Wednesday, November 25, 2009
Tuesday, November 17, 2009
Dernier Devoir: Les problématiques (ou questions ou thèmes) français chez les œuvres de Kim Lefèvre. (500 mots)
1)La question du métissage : le métissage, c’est le terme pour les gens de la race mixte. Les métisses sont exclues de la société française et vietnamienne. Le métissage pose des problèmes, est conflictuelle dans plusieurs situations : les situations amoureuses, dans le milieu familiale, dans le milieu sociale, dans le monde de l’éducation, et pose un problème dans le domaine public et dans le domaine privé. La seule solution des métisses est de quitter le pays (mais ce n’est pas toujours une solution), et le retour, c’est un retour de l’étranger chez lui.
Citations exemplaires :
P.36 : L’oncle de Kim Lefèvre en parlant du métissage de son nièce « Crois moi, répétait-il à ma mère, tu couves une vipère en ton sein, son sang français prendra le dessus malgré tes bienfaits. C’est de la mauvaise graine, elle te trahira. »
P.425 : …les G.I retournèrent chez eux, abandonnant sur le terrain d’autres enfants métisses—les Amérasiens--, fruits d’unions entre Vietnamiennes tentées par le dollar facile à gagner et soldats américains désireux d’oublier le danger et la mort. De même que pour ceux qui étaient issus de la colonisation française, ces enfants furent rejetés, abandonnés à leur sort, des enfants que le Vietnam, aujourd’hui comme hier, refuse de regarder en face.
2)L’entre-deux, c’est-à-dire, l’inter culturalité, est une autre problématique liée au métissage mais c’est une propre idée distincte et importante. Kim Lefèvre est moitié vietnamienne et moitié française, mais au lieu d’être un vrai mixe des cultures, elle se trouve hors de les deux, tiré entre deux cultures. Selon tout le livre, la narratrice lutte entre ses deux cultures en essayant de se trouver son propre place, mais elle ne trouve pas les résultats concrets. Est-il vraiment possible pour elle de choisir une culture ? Enfin, il semble que non—elle est partie en France, mais elle est l’autre là-bas, puis, en retournant au Vietnam, elle est encore à l’extérieur.
Citations exemplaires :
P.89 : « L’injustice dont j’étais l’objet m’était intolérable en même temps que naissait en moi-encore ténue il est vrai-- la certitude que le Vietnam ne voudrait jamais de moi »
P.446 : Elle pousse un soupir de soulagement, me prie de prendre soin de sa mère durant le voyage. -Elle retourne seule à Saigon après une longue absence et elle à très peur, me confie sa fille. Je ne lui dis pas que moi aussi je reviens après trente ans d’absence et que j’avais aussi très peur.
3) L’appartenance et les racines sont une troisième problématique dans les œuvres de Kim Lefèvre. Grace à son métissage et le sens d’être entre deux cultures, Kim, pendant sa jeunesse et aussi pendant son vie adulte, se sent d’un manque d’appartenance à son famille, un village, et un identité enraciné dans un histoire familiale, nationale, et personnelle. Elle exige ce manque d’appartenance et la douleur de perdre les choses le plus proches aux racines qu’elle connaissait pendant sa vie difficile.
Citations exemplaires :
P. 96 : Finalement, n’y tenant plus, il décida de rejoindre Tuy Hoa, petit ville du centre où il avait encore la tombe de son père. Pour ma mère aussi il était temps de s’en aller. Elle avait compris enfin qu’elle ne pourrait pas vivre en paix ici. Pour moi, ce départ fut un déchirement. Je m’étais attaché au gens et aux paysages de ce village. Je commençais à m’enraciner, j’étais en train d’amasser des souvenirs de me construire une histoire… »
Citations exemplaires :
P.36 : L’oncle de Kim Lefèvre en parlant du métissage de son nièce « Crois moi, répétait-il à ma mère, tu couves une vipère en ton sein, son sang français prendra le dessus malgré tes bienfaits. C’est de la mauvaise graine, elle te trahira. »
P.425 : …les G.I retournèrent chez eux, abandonnant sur le terrain d’autres enfants métisses—les Amérasiens--, fruits d’unions entre Vietnamiennes tentées par le dollar facile à gagner et soldats américains désireux d’oublier le danger et la mort. De même que pour ceux qui étaient issus de la colonisation française, ces enfants furent rejetés, abandonnés à leur sort, des enfants que le Vietnam, aujourd’hui comme hier, refuse de regarder en face.
2)L’entre-deux, c’est-à-dire, l’inter culturalité, est une autre problématique liée au métissage mais c’est une propre idée distincte et importante. Kim Lefèvre est moitié vietnamienne et moitié française, mais au lieu d’être un vrai mixe des cultures, elle se trouve hors de les deux, tiré entre deux cultures. Selon tout le livre, la narratrice lutte entre ses deux cultures en essayant de se trouver son propre place, mais elle ne trouve pas les résultats concrets. Est-il vraiment possible pour elle de choisir une culture ? Enfin, il semble que non—elle est partie en France, mais elle est l’autre là-bas, puis, en retournant au Vietnam, elle est encore à l’extérieur.
Citations exemplaires :
P.89 : « L’injustice dont j’étais l’objet m’était intolérable en même temps que naissait en moi-encore ténue il est vrai-- la certitude que le Vietnam ne voudrait jamais de moi »
P.446 : Elle pousse un soupir de soulagement, me prie de prendre soin de sa mère durant le voyage. -Elle retourne seule à Saigon après une longue absence et elle à très peur, me confie sa fille. Je ne lui dis pas que moi aussi je reviens après trente ans d’absence et que j’avais aussi très peur.
3) L’appartenance et les racines sont une troisième problématique dans les œuvres de Kim Lefèvre. Grace à son métissage et le sens d’être entre deux cultures, Kim, pendant sa jeunesse et aussi pendant son vie adulte, se sent d’un manque d’appartenance à son famille, un village, et un identité enraciné dans un histoire familiale, nationale, et personnelle. Elle exige ce manque d’appartenance et la douleur de perdre les choses le plus proches aux racines qu’elle connaissait pendant sa vie difficile.
Citations exemplaires :
P. 96 : Finalement, n’y tenant plus, il décida de rejoindre Tuy Hoa, petit ville du centre où il avait encore la tombe de son père. Pour ma mère aussi il était temps de s’en aller. Elle avait compris enfin qu’elle ne pourrait pas vivre en paix ici. Pour moi, ce départ fut un déchirement. Je m’étais attaché au gens et aux paysages de ce village. Je commençais à m’enraciner, j’étais en train d’amasser des souvenirs de me construire une histoire… »
Monday, November 16, 2009
American Cinema depicting the Vietnam War: Full Metal Jacket and Apocalypse Now (Redux)

Full Metal Jacket and Apocalypse Now are among the most famous war films in cinematic history. Indeed, moments from both films, from Full Metal Jacket’s Vietnamese prostitute proclaiming “Me love you long time” to Apocalypse Now’s famous eulogy, “I love the smell of napalm in the morning,” both movies hold a special place in the history of both cinema and post-war public perception and understanding of the conflict.
What makes these two films particularly interesting for our class discussion is the fact that both were both well-received by foreign and particularly French audiences. Full Metal Jacket won several accolades, particularly for the screenwriting, and Apocalypse Now took home the prestigious Palme d’or from the Cannes Film Festival in 1979.
In class we speculated about the reasons for the films’ popularity. One reason that came up was the noticeable lack of Frenchmen, women, and soldiers in the films—indeed, with the exception of the French plantation scene in Apocalypse now, the Vietnam War in both movies appears to be a war between Americans and Vietnemese. In doing some background research on Apocalypse now, I discovered that the version I watched was actually Apocalypse Now (Redux), a 2001 re-release that included several scenes omitted from the original film. The French plantation scene was among those not included in the original version.

At any rate, however, colonialism and the French presence in Vietnam are in no way the focus of either film, nevertheless, the American perception of the Vietnamese insurgents and the Viet Cong do mirror, in a way, French sentiments about Vietnam during the colonial period. Soldiers in both films find it difficult to comprehend why the Vietnamese resist their help—the U.S. army is here to save them, and the thanks they receive—bombings, snipers, surprise attacks—indicates not gratitude, but total detestation. This coincidence is not by any means an attempt to say that French audiences liked Full Metal Jacket and Apocalypse now because it showcased how ungrateful the Vietnamese were, but the fact that the French favored Vietnam War movies from an American perspective indicates some preference for Western recollections of a topic that is still very sensitive today.
Link: Full Metal Jacket trailer
Link: Apocalypse Now trailer
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